The Vampire Diaries // Saison 5. Episode 18. Resident Evil.
Franchement, qu’est-ce que c’est que cet épisode de The Vampire Diaries ? Je me le demande bien. Peut-être que j’attends un peu trop de cette saison mais après une petite pause
je dois avouer que je m’attendais à un épisode d’un genre assez différent. Cela ne veut pas pour autant dire que tout ce qui est mis en place dans l’épisode était inintéressant mais c’est plutôt
la manière dont la série tente de nous les apprendre qui ne fonctionne pas. Surtout que le tout employé par la série n’est pas son point fort dans ce cas. Cet épisode marquait aussi le retour
(très étrange) de l’un de mes personnages préférés de la série. Non, ce n’est pas Katerina (qui elle, est mon personnage préféré de la série) mais Kol, l’un des Originaux. J’aimerais tellement
qu’il soit de retour dans The Originals. C’était un personnage que je trouve vraiment intéressant et qui, comme sa soeur Rebekah, apportait une touche à cette famille. Certes
Klaus et Elijah sont tout aussi intéressants tous les deux mais je préfère largement les autres. Disons que Klaus a le désavantage d’être un personnage éculé, très exploité dans The Vampire
Diaries. Pour en revenir à cet épisode, l’histoire des Travelers manque cruellement de matière.
Il faut attendre la fin de l’épisode pour que le tout prenne une forme réellement passionnante. C’est tout de même sacrément ennuyeux. Cet épisode est tout de même construit de façon très étrange
et pourtant d’un point de vue de la mise en scène c’était assez équilibré. C’est la première fois que Paul Wesley (Stefan dans The Vampire Diaries) passe
derrière la caméra afin de mettre en scène un épisode de la série et il a fait du très bon boulot. C’est juste l’épisode en lui-même qui est étrangement fait. L’écriture n’est pas toujours juste
et l’on a l’impression d’avoir été complètement débranchés de la saison. Pourtant tout ce qui se passe dans cet épisode est assez logique. Notamment du point de vue d’Elena. Cette dernière se
retrouve dans la sempiternelle spirale du personnage qui n’arrive plus à avancer et c’est vraiment dommage. Surtout qu’il y a largement de quoi faire. C’est en tout cas ce que je ressens.
L’histoire d’amour qui n’a pas de fin, le face à face aussi étrange que déjà vu avec Damon à la fin de l’épisode (je crois que c’est l’un des rares moments où The Vampire Diaries
a su capturer l’émotion chez Ian Somerhalder).
Note : 2/10. En bref, du remplissage sans saveur si ce n’est une mise en scène assez correcte.