Les années passent et le constat dure ...
Les difficultés rencontrées, tant en Europe qu'aux Etats-Unis, pour réguler le monde la finance soulignent à quel point cet outil d'aide à l'activité économique et industrielle a pris un tel pouvoir qu'il domine même les états.
Le GIEC dans les 3 tomes de son 5e rapport souligne l'inéluctabilité du changement climatique et de ses impacts (nous ne pouvons qu'en limiter la portée), son origine anthropique et l'incapacité, ces dernières années, de nos dirigeants à modifier la tendance. En montrant les efforts à faire et les impacts potentiels de l'inaction, le GIEC ne fait que mettre en évidence ce qui va malheureusement arriver ...
Car il ne faut pas se voiler la face, l'intérêt public, global, mondial, n'est pas la somme des intérêts individuel et partisans. Et, à moins d'une révolution mondiale, le système ne risque pas d'évoluer. Les pays vont continuer à soutenir les intérêts des grandes puissances industrielles (qui n'ont plus rien de national) et plus rarement de leur population. Le développement durable n'est plus qu'un chiffon vert agité dans une tentative d'apaisement par les gouvernements "démocratiques".
Craignez la dernière heure !
L'alerte de nos anciens prend une signification toute particulière dans ces temps de tension ...