Publié le 17 avril 2014 par Wil2000
0Les easter eggs de Canard PC
La pastille en première de couverture change à chaque épisode, mais n’a jamais manqué depuis sa création.
La fine colonne rouge tout à gauche de la couverture contient à chaque fois un ou deux mots qui changent, mais la typo les rend peu perceptibles, à vous de faire l’effort de les trouver à chaque issue.
En-dessous de l’énorme logo « Canard PC », sur la droite, se trouve toujours le jeu de mots le plus incroyable de la semaine, toujours en rapport avec l’actualité vidéoludique. Ces mecs doivent avoir des sucres en coke pure qu’ils prennent par douze avec un café où l’eau a été remplacée par du Red Bull pour nous en pondre de pareils.
Le sommaire de la première page de rédactionnel contient régulièrement quelques vannes bien croustillantes. Personne ne le lit jamais, dorénavant vous le ferez.
La grille de mots croisés de Maître Paul Cul à la fin du magazine propose les meilleures définitions au monde. Point.
L’ourse (le petit pavé légal en bas à droite de la toute dernière page, en bas des mots croisés) est toujours d’une débilité délicieuse, et est étonnamment la première chose que je lis quand je reçois mon magazine.
Dans cette même ourse, on peut lire :
« Dessinateur & logo : Didier Couly
Dessinateur & basic : Donatello World »
L’encart console reprend toutes les bécanes du moment, et se termine par un magnifique « De la console au plafond ».
La top line « Le magazine du jeu vidéo » était auparavant « Le magazine des jeux vidéo » et contenait une fois sur trois « Le magajine des zeux vidéo ». D’ailleurs, le lapin qui leur sert de mascotte (ou ses faire-valoir de pingouins) était auparavant un œuf.
Les dessins de Couly dans la partie News méritent d’être vus et lus, car ils sont souvent en relation l’un avec l’autre, et ne pas lire les pages dans l’ordre numérique coupe toute compréhension de leur scénario… évolué et intense.
Le « A venir » de la dernière page, qui contient un petit aperçu des tests du numéro suivant, est peut-être parfois faux, quelquefois de mauvaise foi, mais régulièrement très sympathique.
Il y en a certainement d’autres, qui ne me viennent pas en tête tout de suite, ou que je préfère que vous découvriez par vous-même, mais gageons que vous n’aurez plus le même regard sur votre canard préféré. ;)