Quatrième de couverture :Gérard de Nerval promène dans Paris un homard au bout d’une laisse avant d’être soigné dans un asile psychiatrique, les admirateurs de Goethe se suicident après la publication de Werther, Proust ne veut plus parler qu’à des ducs, Georges Orwell vit parmi les sans-abris et Borgès perd la vue. Tous ces drames n’ont qu’une seule et même cause : la lecture, ce "vice impuni" selon Larbaud. Et si lire était dangereux pour la santé et pour la société, au même titre que l’alcool et le tabac ? Et si lire rendait laid, fainéant, pédant ou snob ? Et si lire pouvait ruiner votre carrière professionnelle, ou même vous rendre la vie insupportable ? C’est le point de départ de ce joyeux pamphlet qui passe en revue tous les défauts du livre pour, en fin de compte, en faire l’éloge le plus abouti.
Magazine Culture
20 bonnes raisons d’arrêter de lire, Pierre Menard
Publié le 16 avril 2014 par Bouquinovore @bouquinovore
Auteur: Pierre Menard
Titre Original: 20 bonnes raisons d’arrêter de lire
Date de Parution : 13 mars 2014
Éditeur : Le Cherche Midi
Nombre de pages : 126
Prix : 12,00€ 11,40€
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Quatrième de couverture :Gérard de Nerval promène dans Paris un homard au bout d’une laisse avant d’être soigné dans un asile psychiatrique, les admirateurs de Goethe se suicident après la publication de Werther, Proust ne veut plus parler qu’à des ducs, Georges Orwell vit parmi les sans-abris et Borgès perd la vue. Tous ces drames n’ont qu’une seule et même cause : la lecture, ce "vice impuni" selon Larbaud. Et si lire était dangereux pour la santé et pour la société, au même titre que l’alcool et le tabac ? Et si lire rendait laid, fainéant, pédant ou snob ? Et si lire pouvait ruiner votre carrière professionnelle, ou même vous rendre la vie insupportable ? C’est le point de départ de ce joyeux pamphlet qui passe en revue tous les défauts du livre pour, en fin de compte, en faire l’éloge le plus abouti.
Quatrième de couverture :Gérard de Nerval promène dans Paris un homard au bout d’une laisse avant d’être soigné dans un asile psychiatrique, les admirateurs de Goethe se suicident après la publication de Werther, Proust ne veut plus parler qu’à des ducs, Georges Orwell vit parmi les sans-abris et Borgès perd la vue. Tous ces drames n’ont qu’une seule et même cause : la lecture, ce "vice impuni" selon Larbaud. Et si lire était dangereux pour la santé et pour la société, au même titre que l’alcool et le tabac ? Et si lire rendait laid, fainéant, pédant ou snob ? Et si lire pouvait ruiner votre carrière professionnelle, ou même vous rendre la vie insupportable ? C’est le point de départ de ce joyeux pamphlet qui passe en revue tous les défauts du livre pour, en fin de compte, en faire l’éloge le plus abouti.