Après avoir, dans le premier tome, confirmé l'origine anthropique du changement climatique ...
Après avoir, dans le second tome, alerté sur les impacts à venir, dont certains évènements météorologiques sont les prémices ...
Le troisième tome du rapport souligne le coût de l'inaction tandis que tous nos dirigeants cherchent à éviter la mise en place de mesure contraignante à brève échéance pour leur territoire.
Ces comportements sont évidemment liés au contexte de crise global auquel est confronté l'ensemble du monde. Toutefois, comme le soulignent certains, notamment les principaux soutien à la transition environnementale en France, ce nouvel axe de développement peut être une porte de sortie durable. De plus, comme le souligne le GIEC, l'inaction prépare les conditions d'une nouvelle crise, potentiellement de plus grande ampleur. En effet, d'une crise systémique (lié au système mondialisé et financiarisé), on risque de basculer dans une crise sociétale (lié à la structure même de la société humaine telle que nous la connaissons).