Dévastée, enfant terrible de la mode parisienne, impose saison après saison son univers Burtonien et son inspiration gothico-kawai.
Revisitant un cimetière habité de fantômes vêtus de leur habituel noir et blanc, on retrouve un univers ludique où les imprimés ou motifs sont pixelisés. On retrouve le téléphone, les pierres tombales, bouches, flacons de parfums et le classique fantôme.
Toujours aussi ludique et décalée Devastée rapporte de la joie à la mort et de l’esprit au gothique.