Le second groupe suivait une alimentation mettant l’accent sur les produits céréaliers complets et à faible index glycémiques et le dernier, à base de produits céréaliers raffinés.
Les résultats révèlent des changements significatifs dans le profil des lipoprotéines et en particulier des HDL, dans le groupe «poisson». Celles-ci étaient non seulement d’un diamètre significativement plus élevé et plus nombreuses, mais comportaient aussi davantage de lipides. L’analyse montre par ailleurs une corrélation significative entre la consommation de poisson gras, leur contenu en oméga-3 et la synthèse de ce type de lipoprotéines.
Pour les auteurs, cette découverte vient consolider le faisceau d’arguments favorables à la consommation globale de poisson dans la prévention cardiovasculaire, étant donné que les poissons maigres ont également des effets favorables, notamment sur la tension artérielle.
Référence : Lankinen M. et al., PloS One, 28/02/2014
Source : Food in action, Nicolas Rousseau, diététicien-nutritionniste
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