La palette est certes étendue.
Entre gris clair et gris foncé, gris souris, granitique, anthracite ou mal dépoli, du sol aux toitures, le gris s’est installé en un plombant camaïeu.
C’est cliché, de dire : la grisaille de la ville, le macadam omniprésents, la lutte de tous les instants pour survivre au rythme des pas sur le bitume.
N’empêche.
En Hollande, les murs sont jaunes, roses, oranges, bleus.
Alors moi, je rêve de ma ville aux couleurs de l’arc en ciel. Ou simplement teinté de vert pâle au sol, pour rappeler la douceur d’une pelouse. Ou mauve, carrément, pour casser les codes.
La vie citadine serait déjà plus joyeuse, non ?
Et en musique, ça donnerait ça :
Anya