Sciences et Avenir publie un fort intéressant article sur le vol de la mouche (ici) et ses techniques pour éviter les dangers, coups de « tapette » compris.Ainsi, disent-ils : « la mouche agit par roulis et tangage de son corps en même temps. Une telle manœuvre signifie que l’insecte tourne son corps dans une direction puis se redresse »Puis : « Ces manœuvres d’échappement se produisent cinq fois plus vite que dans un virage normal fait par la mouche. Comment un si petit cerveau peut générer autant de comportements remarquables? Une mouche avec un cerveau de la taille d'un grain de sel a un répertoire comportemental presque aussi complexe qu'un animal beaucoup plus évolué »Comme souvent, les avancées dans un secteur de la science ouvrent des perspectives d'étude dans d'autres. Dans le cas présent, il faut s'attendre à ce que cette découverte ouvre un nouveau chemin de réflexion pour les sciences politiques.En effet, cet aspect du vol de la mouche -et les commentaires qui vont avec- fait largement penser au mystère de la réélection de politiques lestés de casseroles. Et il est tout à fait légitime de se demander, ici aussi, comment des si petits cerveaux possèdent un répertoire comportemental aussi complexe qu'un animal beaucoup plus évolué.Ce sujet pourrait être inscrit au cursus de l'ENA ou de l'école de la Magistrature. Peut être aussi un séminaire sur le sujet serait fort prisé dans la Commission des Lois de la Chambre ?© Jorge
Sciences et Avenir publie un fort intéressant article sur le vol de la mouche (ici) et ses techniques pour éviter les dangers, coups de « tapette » compris.Ainsi, disent-ils : « la mouche agit par roulis et tangage de son corps en même temps. Une telle manœuvre signifie que l’insecte tourne son corps dans une direction puis se redresse »Puis : « Ces manœuvres d’échappement se produisent cinq fois plus vite que dans un virage normal fait par la mouche. Comment un si petit cerveau peut générer autant de comportements remarquables? Une mouche avec un cerveau de la taille d'un grain de sel a un répertoire comportemental presque aussi complexe qu'un animal beaucoup plus évolué »Comme souvent, les avancées dans un secteur de la science ouvrent des perspectives d'étude dans d'autres. Dans le cas présent, il faut s'attendre à ce que cette découverte ouvre un nouveau chemin de réflexion pour les sciences politiques.En effet, cet aspect du vol de la mouche -et les commentaires qui vont avec- fait largement penser au mystère de la réélection de politiques lestés de casseroles. Et il est tout à fait légitime de se demander, ici aussi, comment des si petits cerveaux possèdent un répertoire comportemental aussi complexe qu'un animal beaucoup plus évolué.Ce sujet pourrait être inscrit au cursus de l'ENA ou de l'école de la Magistrature. Peut être aussi un séminaire sur le sujet serait fort prisé dans la Commission des Lois de la Chambre ?© Jorge