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Accusé France 5 : « A vos "souris" ! »

Publié le 12 avril 2014 par Raoul Sabas

[Avant-propos : Les défauts de présentation éventuellement constatés sont indépendants de ma volonté, mais assurément l'oeuvre d'un script malfaisant, dont l'auteur, ennemi affirmé de LA Vérité, fait tout son possible pour empêcher mes publications, m'obligeant ainsi à corriger sans cesse !]  

Le 11 avril 2014  

Objet : Document omis : « Fax du 21 novembre 2009 »  

  

   France 5  

   Direction et rédaction

     10, rue Horace Vernet

   92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9

   Fax : 01 56 22 95 31

Mesdames, Messieurs,

Suite à l’envoi de mon fax du 9 courant sous l’intitulé, Pour mémoire : « Messieurs les menteurs, justifiez-vous ! », je vous prie de trouver ci-joint la copie de mon fax du 21 novembre 2009, que j’avais oublié de joindre à mon dernier envoi, et dont j’ai retiré les lettres adressées au GIEC, Barack Obama, Ban-Ki-Moon et José-Manuel Barroso, puisque déjà transmises précédemment dans la télécopie mentionnée ci-dessus.

Vous aurez ainsi confirmation que, en matière de climat, vous dissimulez sciemment LA Vérité à l’opinion depuis au moins près de cinq ans, sauf à vous-même d’établir le contraire sur le fond. Toutefois, au vu de votre silence et de votre refus de débattre jusqu’ici, je doute fort que vous renonciez, demain, à lui mentir et à la tromper, même si France 5 est loin d’être seul dans cette manipulation, comme vous en trouverez la preuve dans la longue liste annexée des soi-disant élites associatives, intellectuelles, médiatiques et politiques, dont j’attends toujours, depuis des année, la première argumentation contraire sur la prétendue maîtrise du climat par les humains d’aujourd’hui et de demain.  

Dans l’improbable éventualité de votre participation au seul et unique véritable débat d’idées qui vaille, à savoir celui qui ne consiste pas à opposer entre eux, à l’infini, des points de vue relatifs partisans à d’autres tout aussi relatifs et partisans, mais à les confronter, tous sans exception, à LA Vérité éternelle absolue qui suffit à tous les invalider dans leur prétention à dire l’absolu, ce qui est absolument absolu, ou à parler au nom de l’Idéal – un Idéal pourtant à jamais inconnaissable « en soi » par nous les humains ! -, je vous remercie de votre attention et vous adresse, Mesdames, Messieurs, mes salutations philosophiques, laïques et républicaines, sauf à vous-mêmes ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire.  

Annexe : I - Fax du 21 novembre 2009 à France 5  

  Le 21 novembre 2009  

    

       France 5  

   Direction et rédaction

   10, rue Horace Vernet

     92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9

   Fax : 01 56 22 95 31

Objet : « Messieurs les menteurs, justifiez-vous ! »

Mesdames, Messieurs,  

 

Le 12 septembre dernier, je vous avais adressé un courrier, par ailleurs toujours sans réponse à ce jour, dont le but était de dénoncer les mensonges et les « croyances au miracle » de la superstition scientiste dans sa prétention obscurantiste d’établir sur la planète - à terme ! - un climat « sur mesure » pour l’éternité, et c’est pourquoi je vous invite à consulter le courrier ci-après, à savoir ma lettre du 18 courant à José Manuel Barroso, Président de la Commission européenne, ainsi que les documents annexés.  

Celle-ci comprenait, en effet, le courriel adressé le 16 courant au Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon, afin de l’informer de mon courrier du 9 à Barack Obama, auquel était annexée ma lettre du 2 novembre à l’intention du GIEC pour établir, arguments intellectuels, voire scientifiques, et philosophiques à l’appui, la « débilité intellectuelle » d’une époque qui croit aux miracles comme aux temps les plus obscurantistes de l’humanité, mais dont nos plus ou moins lointains descendants ne manqueront pas de se gausser, si, d’aventure, ils en avaient connaissance. Pour faire bonne mesure, je vous fais parvenir également la lettre du 12 courant à Nicolas Sarkozy, à laquelle étaient joints les documents mentionnés dans son annexe. Evidemment, les récépissés postaux confirmant l’expédition de ces lettres en envoi recommandé avec accusé de réception sont à votre disposition.  

En conséquence, puisque vous disposerez de la totalité de mon argumentation, il vous restera à soulever vos éventuelles objections « de fond » sur des points très précis de désaccord et d’établir au moyen d’arguments intellectuellement, voire scientifiquement, et philosophiquement étayés la fausseté de mes propos sur les points contestés.  

A défaut je n’accuserais pas seulement le GIEC de mentir, donc de tromper et de manipuler l’opinion, car votre silence et votre refus de débattre confirmeraient votre intention délibérée de continuer à colporter – sciemment ! - les mensonges et les « croyances au miracle » du monde. La moindre des choses, en effet, serait d’accepter de remettre en question vos soi-disant certitudes en confrontant vos points de vue relatifs partisans, non pas à d’autres tout aussi relatifs et partisans, mais à LA Vérité éternelle absolue : celle qui ne se fonde pas sur la Foi, la « croyance au miracle », mais sur la Raison, la démonstration, ce qui suffit à invalider toutes les opinions relatives de notre monde dans leur prétention à exprimer l’absolu : LA Vérité absolue !  

Certes, celle-ci présente l’immense inconvénient d’être trop dérangeante pour des intérêts égoïstes de toutes sortes, individuels et collectifs, et ce n’est donc pas sans raison qu’elle fait l’unanimité contre elle pour la nier, au point que les « vertueux » faiseurs d’opinion d’aujourd’hui, tous milieux confondus [Médias, personnel politique, intelligentsia (soi-disant intellectuels, pseudo-philosophes), associations moralisatrices et écologistes], se vautrent dans le mensonge et la lâcheté faute d’avoir l’honnêteté et le courage intellectuel de l’affronter. Une chose est pourtant sûre désormais, au vu de la longue liste ci-dessous, c’est que les menteurs ne peuvent plus prétendre ignorer sa réalité éternelle – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire !   .  

Dans l’éventualité de votre réponse intellectuellement et philosophiquement étayée sur des points très précis de désaccord, je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Mesdames, Messieurs, mes salutations distinguées.  

Annexe : Lettres adressées au GIEC, Barack Obama, Ban-Ki-Moon et José-Manuel Barroso  

 

II - Lettre du 12 novembre 2009 à Nicolas Sarkozy
 

    Le 12 novembre 2009

 Objet : « GIEC et "débilité intellectuelle" »    

 

       Monsieur Nicolas Sarkozy  

     Palais de l'Elysée

   55, rue du Faubourg Saint-Honoré

     75008 Paris

 

[A l'attention de François Fillon, Jean-Louis Borloo, Xavier Bertrand, Nathalie Kosciusko-Morizet et Chantal Jouanno, respectivement ancienne et nouvelle Secrétaire à l’Écologie]

 

Monsieur,

 

Le 18 septembre 2008, je vous avais adressé en envoi recommandé avec accusé de réception un courrier intitulé, « Philosophie, euthanasie et "débilité intellectuelle" », qui entendait dénoncer, arguments intellectuels et philosophiques à l’appui, la « Superstition », le penser superstitieux, dans ses divers modes d’expression [Religion, métaphysique (matérialisme et idéalisme), idéologie et moralisme], et en particulier le scientisme contemporain, ou métaphysique matérialiste, qui fait précisément l’objet de cette lettre, car il n’est rien d’autre que la forme dévoyée de la Science.

A ce courrier était joint le texte, Mensonges et lâcheté des élites, dans lequel je dénonce les mensonges et les « croyances au miracle » du monde, ainsi que ceux qui les colportent au quotidien - sciemment, désormais ! -, à savoir les faiseurs d’opinion de l’époque, tous milieux confondus [Médias, responsables politiques, intelligentsia (prétendus intellectuels, pseudo-philosophes) et associations moralisatrices ou écologistes], en raison de leur silence et de leur refus de débattre sur le fond depuis plus de douze ans, comme l’ensemble de ma correspondance en témoigne, preuves matérielles à l’appui.  

  
Ainsi, à ce jour, je suis bien obligé de constater que seul le récépissé officiel du Chef de Cabinet du Président de la République, en date du 13 novembre 2008, fait office d’argumentation contraire à ma lettre du 18 septembre 2008, puisque j’attends toujours la moindre objection de fond à ce courrier, en particulier sur la partie consacrée au « scientisme », à propos duquel j’avais écrit en substance :  

« La « débilité intellectuelle » de l’époque se manifeste également dans ses « croyances au miracle » scientistes. Par « scientisme », j’entends la Science devenue superstitieuse, dès lors qu’elle absolutise fictivement le relatif, c’est-à-dire fait passer ses théories et ses hypothèses relatives pour absolues, pour réalité ou Vérité absolue, alors que la Science est à jamais relative – l’évolution de son savoir fluctuant constamment au fil du temps, y compris de façon contradictoire, suffit à l’attester !  

Croire – encore et toujours « croire » ! – que notre penser relatif, ou penser du relatif, celui qui nous sert à vivre et à nous orienter dans notre monde des choses, serait en mesure de connaître et de comprendre absolument notre monde - a fortiori de le maîtriser « absolument » ! -, c’est l’une des récentes « croyances au miracle » de l’humanité, venant à la suite de son catéchisme des droits de l’Homme, toujours aussi impuissant à mettre au pas les humains, faute de jamais parvenir à concilier la théorie, LA Morale, et la pratique, la réalité quotidienne.  

Sans entrer ici dans le débat de fond sur le réchauffement climatique, à propos duquel j’attends toujours les objections de Nicolas Hulot à ma lettre du 29 juin 2007, la « croyance au miracle » scientiste du jour se manifeste dans la prétention insensée des humains du XXIe siècle de croire pouvoir dominer à leur guise les forces éternelles de la Nature, afin d’établir sur la planète un « climat sur mesure » pour l’éternité – certes, DEMAIN, toujours DEMAIN, mais seulement DEMAIN, à la saint Glinglin, cette sempiternelle échéance du penser superstitieux sous toutes ses formes !  

Comme ni vous ni moi (et bien peu des Terriens d’aujourd’hui) ne verrons le terme annoncé de cette nouvelle chimère, à savoir la fin du siècle, je me borne à fournir deux arguments non scientifiques pour la dénoncer, sans oublier pour autant les contrevérités et les lacunes de notre savoir scientifique actuel sur « tout un tas de choses » (selon l’expression de Claude Allègre), dont ne manqueront pas de sourire nos plus ou moins lointains descendants. Forcément, au fil des siècles et des millénaires, ils ne manqueront pas de constater notamment qu’il fait toujours sur Terre, tantôt plus chaud, tantôt plus froid, même si nos scientistes du jour se font prophètes sans preuves, alors que seule la démonstration poussée à son terme ultime, l’UN absolu, est légitime en matière de Vérité.  

 

Mon premier argument se fonde, encore et toujours, sur l’impossibilité absolue d’introduire l’absolu dans le relatif, autrement dit de transposer l’Idéal dans le quotidien, qu’il s’agisse du devenir du monde en général ou de celui du climat en particulier. Il s’appuie, en outre, sur la constatation scientifique indiscutable suivante : notre monde est en constant mouvement, et donc en incessant changement, puisque celui-ci en découle ; il en résulte que la configuration de notre monde des choses est - à « TOUT » moment ! - différente de ce qu’elle était l’instant d’avant. Ceci devrait suffire à réduire à néant le « rêve fou » des humains d’aujourd’hui, devenu de facto sans intérêt puisque tout serait à recommencer sans cesse – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, d’établir que les Terriens seraient en mesure d’arrêter, de « figer », le mouvement universel perpétue ! Mais là, précisément, les humains apportent la preuve qu’ils ne doutent de rien, forts qu’ils sont de leur prétendue « libre volonté », capable de soulever des montagnes avec leur foi en elle - paraît-il !

Or, si cette fiction d’un illusoire « libre arbitre », en vertu duquel il suffirait de vouloir pour pouvoir, était une réalité de notre monde, c’est à se demander pourquoi les maux sempiternels de l’humanité perdurent depuis des millénaires, puisqu’il nous suffirait de vouloir pour pouvoir les éradiquer, voire instaurer sur la planète liberté idéale et égalité absolue, entre autres vœux pieux. Plus simplement, par ailleurs, pourquoi notre langage, et bien d’autres, auraient-ils besoin d’utiliser le conditionnel, SI TOUT dépend exclusivement de notre libre volonté excluant par avance tous les impondérables, lesquels, par définition, nous échappent ?  

En réalité, TOUT ce qui se produit dans notre monde (phénomènes naturels, évènements historiques, actions collectives, actes individuels) dépend seulement de ce que Spinoza nomme la « nécessité », à savoir l’enchaînement infini de l’infinité des causes et des effets que nous sommes totalement incapables de maîtriser par notre libre arbitre, comme la seule situation économique mondiale d’aujourd’hui suffit à l’attester.  

 Mon second argument contre la prétention obscurantiste scientiste du jour, qui vaut également pour invalider les « croyances au miracle » de la superstition idéologique, tient à la réalité de notre nature humaine. Celle-ci se caractérise par son égoïsme inné et effréné, auquel personne n’échappe : ni vous ni « moi », et pas davantage les six milliards d’humains d’aujourd’hui, voire les milliards supplémentaires de demain et d’après-demain - hypocrites et inconscients inclus !   

Brièvement défini, notre égoïsme naturel n’est que le désir premier de chacun de vivre le plus longtemps et le mieux possible, en se gratifiant autant que faire se peut dans ses affaires d’amour, quel qu’en soit l’objet, d’argent, en tant qu’instrument de possession des biens les plus divers, voire de personnes, et de gloire ou honneur-vanité, d’ego tout simplement pour les plus modestes - s’il en existe !  

Alors s’imaginer que les six milliards d’humains différemment concernés par l’inquiétude climatique actuelle, et par ailleurs légitimement soucieux de leurs intérêts égoïstes immédiats, individuels ou collectifs, vont se mettre à marcher comme un seul homme pour le bien de la planète, un hypothétique bien qu’ils ne verront même pas, cela fait partie de la « croyance au miracle » actuelle, orchestrée à l’unisson par les scientifiques du GIEC, les médias, les politiques et les intellectuels d’aujourd’hui, à l’exception de quelques rares contradicteurs, parmi lesquels Claude Allègre.  

Les chances de réussite de cet improbable accord unanime sont d’autant moins assurées que l’Organisation des Nations Unies, représentative de tous les Etats de la planète, n’est pas parvenue, en plus de soixante ans, à faire vivre en paix deux Etats lilliputiens voisins, ou encore à en juger d’après les difficultés rencontrées aujourd’hui dans le Caucase pour résoudre un conflit concernant, en superficie et en population, l’équivalent de deux départements français, sans oublier d’innombrables exemples et la retenue à l’égard de la Russie pour des raisons fondamentalement égoïstes d’approvisionnement en énergie - mais il n’est pas interdit de rêver et la planète ne s’en prive pas, malgré des accords internationaux sempiternellement bafoués ! ! !

Compte tenu de l’impossibilité chronique à régler définitivement les problèmes terrestres liés à la multitude des intérêts égoïstes contradictoires à travers la planète, il faudrait peut-être commencer à réfléchir sur l’opportunité, ou non, de s’engager dans cette galère climatique par rapport à laquelle les douze travaux d'Hercule ne sont qu'une modeste illustration – ne serait-ce que pour une banale question de financement des mesures envisagées, et pratiquement envisageables sans mettre en péril l’activité économique et financière mondiale.

Toutefois, je fais confiance à l’avenir plus ou moins lointain pour juger de la pertinence de mes propos d’aujourd’hui sur le climat et ses incessantes variations, dès lors qu’ils seront confrontés à la réalité observable du climat terrestre de demain, d’après-demain et ainsi jusqu’à la fin des temps. En effet, le Groenland nous a déjà fourni un exemple bien connu de très important réchauffement climatique, aux IXe et Xe siècles, sans souffrir pour autant de pollution industrielle ou inhérente aux moyens de transport, à une époque où l’hypocrite compassion publique ne s’attendrissait pas sur le devenir des ours blancs – et pour cause : le tambour médiatique n’était pas là pour colporter planétairement les mensonges et les « croyances au miracle » du penser superstitieux !

Je dis « hypocrite », dans la mesure où une très large fraction de l’opinion compassionnelle d’aujourd’hui se préoccupe davantage du sort des animaux en général, des ours blancs en particulier, que de celui de son prochain, comme suffisent à l’illustrer les luttes intestines entre camarades de gauche en général et entre camarades socialistes en particulier. C’est aussi l’une des caractéristiques des « vertueux » d’afficher leur amour universel, rappelé fort mal à propos par Ségolène Royal reprenant à son compte le mot du Christ : « Aimez-vous les uns, les autres », alors que les uns et les autres, précisément, s’entredéchirent à qui mieux-mieux pour de sombres questions d’intérêt – mais pas seulement à gauche, d’ailleurs, et pas seulement en politique ! l ! » [Fin de citation]

Pour en terminer avec le courrier évoqué, dont la copie est toujours à votre disposition, je tiens à souligner que j’ai également dénoncé le scientisme dans une lettre adressée le 20 décembre dernier à Nathalie Kosciusko-Morizet, alors Secrétaire d’Etat à l’Ecologie, ainsi que dans celle expédiée en courrier recommandé avec accusé de réception à Jean-Louis Borloo, le 20 janvier 2009, mais dont j’attends encore à ce jour la réponse, puisque seul le récépissé postal tient également lieu d’argumentation contraire, et sans oublier mon courriel du 16 septembre dernier à Xavier Bertrand, Secrétaire national de l’UMP, également toujours sans réponse à ce jour.

Depuis lors, je n’ai eu de cesse de contacter les grands leaders d’opinion de l’hexagone (médias, politiques, intellectuels et associations écologistes), dont les noms et les preuves d’envoi de mon courrier sont à votre disposition, pour les mettre face à leurs mensonges et à leurs « croyances au miracle » sur la question climatique, en espérant obtenir des objections intellectuellement, voire scientifiquement, et philosophiquement étayées. Or, je n’ai pu constater jusqu’ici que leur silence et leur refus de débattre, et c’est pourquoi j’ai décidé de m’en prendre directement au GIEC en raison de son immense responsabilité de tam-tam médiatique sur fondement scientifique prétendument avéré, ce que j’attends toujours de vérifier en réponse à ma question précisée dans le courrier annexé.

Pour ce faire, le 2 septembre dernier, j’ai adressé un courriel à l’IPCC pour exposer un argument à validité éternelle, mais faute de réponse, je l’ai réexpédié le 6 et le 17. Toutefois, même si le denier envoi portait en objet : « GIEC : ÉCHEC ET MAT ? ! », je n’ai obtenu que silence et mépris en guise de réponse. Cette lâcheté intellectuelle m’a donc conduit à développer mon point de vue dans une lettre recommandée avec accusé de réception, en date du 2 novembre, ainsi qu’en témoigne le récépissé postal signé le 4, que je joins à cet envoi.

Le temps perdu jusqu’ici en raison du silence et du refus de débattre des soi-disant « élites », contactées sur le réchauffement climatique, ainsi que la proximité de la Conférence de Copenhague m’ont amené à faire part de mon combat contre la superstition scientiste, entre autre, à celui que l’humanité considère comme son nouveau messie « cosmo-planétaire », Barack Obama en l’occurrence. C’est pourquoi je vous invite ainsi que les membres du gouvernement, et notamment ceux mis en exergue ici, à prendre connaissance de ma lettre en anglais du 9 courant au Président américain, accompagnée du courrier adressé au GIEC dans sa version anglaise et française, ainsi que des documents témoignant officiellement de leur envoi.

Vous y trouverez l’essentiel de mes arguments dénonçant, sur le plan intellectuel et philosophique, la « croyance au miracle scientiste » du jour, mais j’y j’ajoute cette dernière question :

« A quel moment et à quels signes tangibles indiscutables, l’humanité reconnaîtra-t-elle que le climat de la planète a été définitivement maîtrisé, idéalement stabilisé ? »

Personnellement j’y ai déjà répondu, et la saint Glinglin fera donc l’affaire, sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire - mais la saint Glinglin n’est pas non plus pour demain en la matière ! Or, sans rigoureuse démonstration contraire sur des points très précis de désaccord, la superstition scientiste est en tout point comparable au catéchisme religieux ou droit-de-l’hommiste, dans la mesure où elle découle pareillement du penser superstitieux !

En conclusion, je pense avoir établi, dans l’ensemble des documents à votre disposition, ce que j’entends par « débilité intellectuelle » de l’époque, mais aussi de toutes les époques, telle qu’elle se manifeste lorsque la Foi, la croyance au miracle, prime sur la Raison, la démonstration. C’est pourquoi je vous invite à soulever vos éventuelles objections sur des points très précis de désaccord sur le fond et à présenter vos arguments intellectuellement, voire scientifiquement, et philosophiquement étayés.

Dans cette éventualité, je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

Annexe : I - Lettre du 9 novembre 2009 à Barack Obama

   II – Lettre du 2 novembre 2009 au GIEC

   III – Texte, Mensonges et lâcheté des élites

   IV – Accusé de réception et fiche d’envoi d’un recommandé international

     V - Liste des destinataires auxquels sera nommément adressée une copie appropriée de ce courrier

Associations

Europe Ecologie

Fédération Environnement Durable (FED)

Fondation Nicolas Hulot

Les Verts

MEDEF

 

Médias

Acrimed

Arte

BFM

Canal +

Europe 1

France 2

France 3

France 5

France Culture

France Info

La Dépêche du Midi

La Montagne

La Voix du Nord

Le Figaro

Le Monde

Le nouvel Observateur

Le Parisien

Le Point

Le Progrès

La Provence

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L’Express

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Mouvement Des Citoyens

Mouvement pour la France

Nouveau Parti Anticapitaliste

Parti communiste

Parti de Gauche

Parti radical de Gauche

Parti socialiste

Union du Mouvement Pour la France

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  


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