Sa pensée politique (chapitre 2)
-Son ‘interventionnisme dans la grande distribution’ visant à faire baisser les prix n’est pas une vision libérale. Ce n’est pas à l’État de fixer les prix du commerce.
-‘’Les régimes spéciaux de retraite pour les salariés de l’EDF’’ qu’il a mis en place constituent un privilège injuste par rapport au secteur privé…qui les paie. Ceci n’a rien de libéral.
-‘‘Son protectionnisme’’ affirmé haut et fort n’est pas particulièrement une mesure libérale. Dans son discours du 22 juin 2007, il a déclaré : « Le droit de la concurrence laisse les entreprises à la merci des prédateurs du monde entier. »
-Avec un programme qui a coûté officiellement 30 milliards d’euros et selon l’Institut de l’Entreprise 45 milliards d’euros, on est loin de la rigueur budgétaire qu’on aurait pu attendre d’un bon gestionnaire.
-En février 2007, Sarkozy déclare : « Ce n’est pas l’entreprise qui rendra les universités compétitives. » il ignore que, dans le monde entier, c’est l’entreprise qui permet la réussite des meilleures universités. Il oublie qu’en France, l’État fait l’échec de nos universités. Elles occupent des places minables dans les classements européens.
Jeu de briques
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