La vaccination affaiblirait-elle nos enfants ?

Publié le 10 avril 2014 par Philippejandrok

Une étude peu connue réalisée en Nouvelle-Zélande et publiée en 1992 marque un pas dans la nécessité de vacciner ou pas.

 Les enfants non vaccinés sont généralement plus sains et moins enclins à la maladie que des enfants vaccinés, déclare Sue Claridge auteur de cet article.

 Contrairement à ce qui est populairement déclaré par les laboratoires et la Faculté de Médecine en France qui encouragent, et obligent systématiquement à vacciner les populations dès l’enfance, ce postulat pourrait être reconsidéré.

 Cette étude Néo-zélandaise montre que l’absence de vaccins protègent les enfants en les poussant à construire leur immunité naturellement, immunité qui n'existerait pas autrement. Celle-ci affirme également que les enfants vaccinés vont plus probablement souffrir d’avantage de maladies chroniques comme l'asthme, l'eczéma, les angines et une foule d'autres pathologies récurrentes, comparés aux enfants non vaccinés qui ne semblent pas atteints.

 Cette étude a été conduite par la Société d'Immunisation Consciente (IAS Immunization Awareness Society) VacTruth.com. Des questionnaires ont été distribués aux membres du groupe d'enquête, à leurs amis et collègues et d'autres, demandant à connaître les statuts de vaccination des enfants et si les mères avaient allaité ou pas, si absence d’allaitement, avec quoi les nourrissons ont été nourri et quelles maladies ont-ils développé. Plus de 245 familles ont répondu à l'enquête, fournissant des données sur 495 enfants.

Sur 495 enfants, 226 ont été vaccinés conformément aux recommandations gouvernementales, tandis que 269 ne l’étaient pas. L’âge des participants allait de deux semaines à 46 ans.

Et 81 des familles participantes avaient des enfants vaccinés et non vaccinés, offrant ainsi une comparaison plus directe dans les ménages dans les taux de maladie et la fréquence de celles-ci.

Était demandé aux participants, l’année de naissance, le genre (male/femelle) les vaccinations reçues ou pas des personnes souffrantes d'une gamme de pathologies chroniques (asthme, eczéma, infections ORL, angine, hyperactivité, diabète et épilepsie) si vraiment les malades avaient eu recours à des procédures lourdes ou tardaient à développer les capacités de l’appareil locomoteur (marche, posture verticale ou pas, équilibre posture assise, enfant rampants sur le sol) a écrit Sue Claridge dans son rapport sur l'étude en question :

 - Les parents ont également fourni des informations sur l’allaitement et l'alimentation en bouteille (Lait maternel acheté dans le commerce) et du sevrage d’un enfant si allaité, a-t-elle ajouté

 De façon intéressante, on a découvert, basé sur l'analyse de ces données que 92% des enfants qui ont exigé une opération des amygdales pour des angines chroniques avaient été vaccinés pour la rougeole, vraisemblablement avec le vaccin combiné Rougeole-Oreillons-Rubéole, connu également sous l'appellation MMR outre atlantique.

 Les enfants Vaccinés étaient également plus enclins au développement de conditions comme, l'asthme, des infections ORL et une certaine déficience d'habileté du système locomoteur.

 Les taux d'eczéma parmi les enfants vaccinés se révèle être plus que deux fois supérieur à celui d'enfants non vaccinés, tandis que le taux d'hyperactivité parmi des enfants vaccinés était presque quadruple de celui d'enfants non vaccinés.

 Les résultats de l’enquête indiquent également que les enfants vaccinés sont plus enclins voire, quatre fois plus que des enfants non vaccinés à développer des infections ORL, tandis que les taux d'asthme dans le groupe des vaccinés était également de cinq fois plus élevé que dans celui des non vaccinés.

 Ainsi, le nombre d’enfants épileptiques dans le groupe des non vaccinés était de un, alors que dans celui des vaccinés, il était de quatre. Aucun des enfants non vaccinés n'a exigé d’opération des amygdales, alors que 12 des enfants vaccinés ont subi cette intervention.

  Malgré le nombre limité des participants à cette enquête, il apparaît clairement et scientifiquement que les enfants non vaccinés sont plus sains et surtout plus résistants que les enfants vaccinés ; et si cette étude très limitée, particulièrement en termes de nombres d’enfants non vaccinés qui ont été impliqués et la gamme de conditions chroniques examinées, il fournit la preuve scientifique solide, à l'appui, que les enfants non vacciné sont des enfants plus sains que leurs pairs vaccinés, a déclaré Sue Claridge en conclusion.

 À présent la question se pose :

 - Faut-il vacciner les enfants pour faire fonctionner un système financier ou pour sauver nos enfants de la maladie ?

 La seconde question qui se pose :

 - Si les enfants vaccinés développent plus de pathologies, c’est que cela impose des visites régulières chez les médecins et des interventions dans les hôpitaux, ce qui fait fonctionner, non seulement les laboratoires, les médecins et les hôpitaux, soit une partie importante de notre économie.

 La troisième question :

- Est-il rentable d’avoir des enfants en bonne santé ?

 Les maladies seraient donc plus rentables pour la société que la bonne santé ?

 Ce ne sont là que des interrogations, chacun est libre d’apporter ses propres réponses à ces questions.

Nous vivons vraiment une époque formidiable…