La nuit cambrée de tes folies
Le jardin clos de nos je t’aime
Une tiédeur où je me plie
Et… Tout ce qui ne se dit pas
Ta lèvre au vert d’où j’émigre
A l’autre bout de tes pensées
Nos pôles au sud en tête à tête
A l’indécence des idées
Ta symphonie qui me rappelle
L’autre rivage sous ta voix
A mes délires à tes pluriels
Dans un voyage au long de toi
Ton souffle tendre où je m’enlise
L’aigre douceur dont tu te pares
Lorsque ton vin m’italianise
Quand tout s’allume sous ton fard
Ton alphabet quand tu m'emmènes
Les mots mouillés qui m’acheminent
Au temple chaud de nos haleines
Au figuré comme une rime
Mon Alpe blanche
Mon altitude
Où je me penche à l’infini…
Au point virgule de tes hanches
Ta vérité comme l’on dit
Des mots voyants de ta lumière
Qui ne sont pas au dictionnaire
Et… Tout ce qui ne se dit pas
...
Jacques Gourvennec