- Mes étudiants sont de plus en plus sélectionnés sur leur capacité à parler des langues étrangères (être étranger devient un avantage compétitif). Une telle sélection se fait au détriment des compétences de l'élève pour le sujet de la formation. En outre, il n'est pas certain qu'apprendre une langue pour l'apprendre, ne conduise pas à des déperditions.
- Le problème est, qu'à de rares exceptions près (par exemple les maths ou la médecine), l'université vit repliée sur elle-même : elle n'enseigne plus la science, mais ses fantasmes. Dans de nombreux domaines, il faut reconstruire les disciplines à partir de fondations reconnues internationalement comme solides (comme en maths ou en médecine).
Magazine Société
Je lis une présentation concernant l'enseignement supérieur. Si je comprends bien il faut l'internationaliser pour faire comme les autres. Cela me paraît ridicule. Je crois que le problème est mal posé :