10 bonnes raisons de ne pas porter de soutien-gorge

Aujourd’hui, j’ai décrété un No Bra Day.

C’est par un heureux hasard comme je me suis souvenue que le 8 mars était la journée de la femme (deux jours après la fête des grands-mères – mais heureusement pour vous, je relierai ce post au premier évènement).

Pourquoi cette décision ? Tout simplement parce qu’on me l’a conseillé pour son confort et sa sensation de liberté, et puis de toutes façons on ne voit pas la différence lorsque l’on a des micro-seins (qui a dit que c’était mon cas ?).  Paraît-il qu’après quelques jours, porter un soutien-gorge devient désagréable avec l’affreux sentiment d’avoir le souffle coupé. « F****** Hippies » me direz-vous ! Mais après une journée test, ô joie, ô bonheur, quelle agréable révélation !

10 bonnes raisons de ne pas porter de soutien-gorge

C’est ainsi que j’ai décidé de jeter un coup d’œil sur l’histoire du soutien-gorge, que l’on porte sans se poser de questions. Après avoir bien googled et wikipédié, j’ai appris de nombreuses choses qui me serviront dans ma vie de tous les jours. Oh yeah.

1.   Pas de soutiens-gorge = seins en bonne santé. Il serait prouvé scientifiquement que les soutiens-gorges pourraient être en partie responsables de l’augmentation du cancer du sein dans notre cher monde occidental. Ils compresseraient le sein et empêcheraient la circulation du liquide lymphatique. Pour celles qui seraient obligées de porter un soutien-gorge, on conseille de masser le sein en fin de journée (je parle ici de massage pour les besoins de santé, non pas pour subvenir aux besoins naturels de votre conjoint). D’autres soutiennent le contraire, mais laissons les scientifiques dans leur baragouinage abyssal pour révéler les vraies raisons qui peuvent vous faire changer d’avis.

2.   C’est confortable. Et même le pire pull de l’univers intergalactique qui gratte peut vous paraître tout doux à côté des élastiques qui s’entremêlent dans le dos, ou de la tige en plastique qui se plante malencontreusement dans le coin de votre sein droit lorsque vous croisez les bras.

3.   Ce n’est pas cher. Quand tu es une fille, tu ne peux pas te permettre de porter toujours le même calbut ou le même sous-vêtement. Un soutien-gorge – beau- c’est cher et ça creuse le budget parmi nos milliards de crèmes hydratantes, chaussures et autres fringues (même vintage).

4.   Ca peut exciter les mecs (ou pas). Et pour les « ou pas », je ne sais pas s’ils resteraient sur leurs décisions lorsque l’on se promènera sans soutif dans le rayon surgelé du supermarché.

5.   Pas besoin de porter la culotte assortie au soutien-gorge. Et pour celles qui sont également adeptes du No Panties, le problème ne se pose plus.

6.   A partir de 20 ans, on a plus la même silhouette de rêve qu’avant. Vergetures, cellulite apparaissent et le petit José (ou Toufic) remplace nos abdos qui s’étaient pourtant sculptés naturellement. Et les seins dans tout ça, ils tombent ? Vous vous dites« Mon dieu, il fait que je continue à porter ce soutien-gorge 24h sur 24, sous la douche, dans le lit, sur ma plage nudiste ! » Que nenni ! Les seins sont soutenus par la peau et celle-ci perd naturellement de son élasticité. Même si le soutien-gorge peut ralentir l’effet, vous vous retrouverez forcément avec deux gants de toilette un jour ou l’autre.

7.   Vous serez une pseudo-féministe pure et dure. Je ne demande pas d’agir comme les femmes ukrainiennes de Femen (photo ci-dessus) qui montrent leurs seins sans-gêne pour des raisons de revendications, mais ne pas porter de soutien-gorge peut être symbolique. Encore aujourd’hui, de nombreuses femmes n’en portent pas car il serait avant tout un outil de séduction inconfortable et inutile.

8.   Pour les femmes qui en portent car sans cette chose, leur poitrine leur ferait mal, il y a d’autres moyens : caracos, bandeaux, vous pouvez user de votre imagination ! Et pour celles qui ont peur que ce soit provocant : un énorme décolleté plongeant avec un soutif rembourré sur 3 cm n’est-il pas plus provoc’ ?