Cette aventure inédite en Vf est dessinée par Romita Jr. Le grand JrJr de la bellé époque, celui où les détracteurs étaient peu nombreux, et les admirateurs légions. Un trait racé et dynamique à souhait, expressif, qui ressort d'autant mieux sur le papier (de qualité modeste) employé à l'époque sur les comic-books américains. Klaus Janson à l'encrage apporte aussi sa touche à l'ensemble, qui est de fort belle facture. C'et Howard Mackie qui scénarise ce Hearts of Darkness, ce qui est normal car il met à l'honneur principalement Ghost Rider, titre qu'il écrivait avec talent à l'époque. Une belle aventure expressionniste et couleur de cendres, qui est aussi le moment clé où Danny Ketch réalise que son pouvoir de Rider ne dépend pas seulement de sa moto, mais qu'il est en lui, dès lors qu'un sang innocent est versé. Quand on voit ce qu'est devenu aujourd'hui le personnage, on a presque envie de qualifier ce one-shot de chef d'oeuvre intemporel. Car oui, moi je l'aimais bien Danny, en Rider!
Ghost rider wolverine punisher : hearts of darkness
Publié le 05 avril 2014 par Universcomics @JosemanietteCette aventure inédite en Vf est dessinée par Romita Jr. Le grand JrJr de la bellé époque, celui où les détracteurs étaient peu nombreux, et les admirateurs légions. Un trait racé et dynamique à souhait, expressif, qui ressort d'autant mieux sur le papier (de qualité modeste) employé à l'époque sur les comic-books américains. Klaus Janson à l'encrage apporte aussi sa touche à l'ensemble, qui est de fort belle facture. C'et Howard Mackie qui scénarise ce Hearts of Darkness, ce qui est normal car il met à l'honneur principalement Ghost Rider, titre qu'il écrivait avec talent à l'époque. Une belle aventure expressionniste et couleur de cendres, qui est aussi le moment clé où Danny Ketch réalise que son pouvoir de Rider ne dépend pas seulement de sa moto, mais qu'il est en lui, dès lors qu'un sang innocent est versé. Quand on voit ce qu'est devenu aujourd'hui le personnage, on a presque envie de qualifier ce one-shot de chef d'oeuvre intemporel. Car oui, moi je l'aimais bien Danny, en Rider!