Photographies ci-dessus et à gauche : « Auguste Garneray. Portrait de l'impératrice Joséphine. s.d. 1813. Aquarelle sur vélin. Paris, coll. part. © DR. »
Photographie de droite : « Histoire naturelle des tangaras, des manakins et des todiers. Par Anselme-Gaëtan Desmarest. An XIII - 1805. 1 vol. grand in-folio. H. 0, 515; L. 0,35 cm. Musée national du château de Malmaison. © Rmn-Grand Palais (musée des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau) / Daniel Arnaudet. »
« Elle vécut dans la plus grande intimité avec ses plantes, qu'elle considérait comme ses pensionnaires et dont la culture faisait ses délices. « C'est pour moi un bonheur inexprimable, confiait-elle à Thibaudeau, de voir se multiplier dans mes jardins les végétaux étrangers. » Sa seule ambition fut de posséder le plus beau et le plus curieux jardin de l'Europe. Elle voulut qu'on s'y crut comme au milieu des forêts de l'Amérique. Son locus amoenus [lieu naturel amène et voluptueux] restituerait le jardin de son enfance. Pour parvenir à ses fins, elle expédia sur les mers lointaines des botanistes-explorateurs pour collecter des plantes et des animaux rares. »
Cette exposition vient compléter celle se déroulant au Musée du Luxembourg à Paris qui se déroule jusqu'au 29 juin (voir ici).
La statue ci-dessous provient de cette seconde manifestation.
Photographies ci-après : « Antonio Canova (1757-1822). Amour et Psyché debout. Entre
1802 et 1808. Marbre. H. 148 ; l. 38 ; pr. 63 cm. Saint-Pétersbourg, musée de l’Ermitage. © Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg/photo Leonard Kheifets. »