mustapha
Le Gui (Viscum album) est un sous-arbrisseau de la famille des Loranthacées ; originaire des régions tempérées d’Europe. On l’appelle aussi Bois de Sainte Croix, Glu, Verquet, Blondeau, Gu, Vert de Pommier, Bouchon. Le Gui prend, après quelques années, l’apparence d’une grosse « boule » vert jaunâtre de 50 cm à un mètre de diamètre. Dépourvu de racines, il est fixé à l’arbre par un suçoir primaire qui s’enfonce profondément jusqu’au bois. Plus d’une centaine d’espèces d’arbres ou grands buissons sont susceptibles d’être parasitées.on le trouve en Europe et Afrique du nord et autres.
le gui
Parties utilisées
- Feuilles et jeunes tiges (le gui du poirier et celui du pommier seraient les plus efficaces)
- Les tiges et les feuilles de gui sont récoltées fin octobre, séchées en bouquet, puis réduites en poudre pour être conservées dans un récipient où ne pénètre pas la lumière et très bien fermé.
- Les baies sont utilisées pour usage externe, mais ils sont toxiques.
la plante du gui
Les vertus du gui :
- pour traiter l’hypertension artérielle, l’athérosclérose, l’épilepsie, l’infertilité, les états nerveux, l’asthme, le mal de tête et la dermatite.
- Athérosclérose
- Hypertension et ses troubles (vertiges, bourdonnements d’oreille…)
- Néphrite chronique, hémorragies congestives
- Crises nerveuses, convulsions, danse de Saint Guy
- Migraine
- Albumine
- Asthme, coqueluche
- les symptômes de la Ménopause : palpitations, tachycardies, troubles circulatoires périphériques, dyspnée
- Prostatisme, goutte
- un bon adjuvant hypotenseur et un dépuratif du sang (en tisane).
- la plante pouvait être utile pour le traitement du cancer par injection sous-cutanée ou intramusculaire de diverses préparations.
- Pertes blanches (en externe)
- Algies rhumatismales, névrites, sciatiques (en externe)
- pour soulager les douleurs arthritiques.
les autorités médicales du Canada et des États-Unis n’ont jamais reconnu le gui comme un traitement contre les cancers.
Contre-indications
- Éviter durant la grossesse ou l’allaitement.
- Allergie au gui.
- Dans le cas des injections sous-cutanées, on a fréquemment rapporté des frissons, de la fièvre, des maux de tête, ainsi que des douleurs au site d’injection, mais pas d’effets indésirables graves, même après un traitement à long terme.
Effets indésirables
Par voie orale, le gui peut être toxique lorsqu’on dépasse les dosages.
Précautions
Ne pas confondre le gui américain (Phoradendron spp), qui est toxique et n’a pas d’usages thérapeutiques, avec le gui européen (Viscum album).
L’utilisation du gui à des fins thérapeutiques doit se faire sous la supervision d’un thérapeute.
Demandez les Posologies pour :
- Hypertension artérielle légère (traitement) et athérosclérose (prévention)
- pour lutter contre les troubles de la ménopause — tels que palpitations, essoufflements et troubles respiratoires — mais aussi contre l’alcoolisme (cure de 15 jours).
- Les rhumatismes, la sciatique, la goutte.
- L’artériosclérose, l’asthme convulsif, la toux coquelucheuse, la jaunisse.
- les hémorragies congestives, saignements de nez et hémorragies intestinales.
- les troubles nerveux (épilepsie, spasmes, convulsions) et ceux de la ménopause.
- soigner les affections génitales féminines bégnines, les pertes blanches.
- contre les engelures et les crevasses des mains.
Amicalement à vous !
Mustapha
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