Un monde qui change
Ce que nous ne comprenons pas aujourd’hui, c’est que le monde change, il évolue, il se dégrade. Le monde que nos parents ont connu, l’espoir d’une vie meilleure, la chance d’avoir un emploi, nos enfants ne l’auront pas.
Seuls des intérêts médiocres dominent, la volonté de reconnaissance sociale, le titre, la fonction qui détermine un homme, une femme par rapport à d’autres, qui les mettent au-dessus, surtout si leurs valeurs morales ne valent pas un clou, c’est exactement ce qui se passe en France actuellement, où nombre d’élus corrompus ont été réélu au premier tour, les citoyens n’ont pas tenu compte de leurs malversations financières, de leurs magouilles, de leurs mensonges, les citoyens souhaitent une représentation d’individus sans valeur morale, car eux-mêmes n’en n’ont pas, s’ils en avaient, ils feraient un autre choix, plus logique, plus en rapport avec le changement, où alors, ils manquent de la plus élémentaire réflexion ou de la plus simple intelligence.
Une bactérie est plus intelligente qu’eux, car elle a un but, une mission, une fonction, le votant lui, n’a qu’un espoir, souvent déçu. Il semble même que plus on triche, plus on le sait, plus on plait, où est la cohérence dans un tel choix ? Mais tout cela n’est rien, face à la réalité de notre monde.
Une fin du monde annoncée
Plusieurs scientifiques ont développé des théories logiques de destruction de la planète par l’activité humaine, par cette absence totale de respect de nos environnements, des périodes de l’histoire sont aujourd’hui encore très obscures, j’ai longtemps travaillé sur les civilisations pré-Bibliques, très avancées technologiquement et peut être même plus que les nôtres, et dont il nous reste peu de traces et pour cause, l’homme commet systématiquement les mêmes erreurs, l’histoire se répète et la destruction des sociétés humaines s’est produite et se reproduira.
Rudolf Steiner nous parle de civilisation post Atlantéenne soit 10 000 ans avant notre être, Hermès Trigemiste en fait autant, Platon dans le Timée replace également la destruction de l’Atlantide à cette période, et les archéologues au service des dirigeants nous parlent de légende, mais il existe également, une archéologie du mensonge.
Bien entendu, ce continent habité par une civilisation supérieure n’a jamais existé, malgré les cartes anciennes, malgré les savoirs spirituels parvenus jusqu’à nous, car nul ne veut savoir que ce qui s’est réellement passé, pourrait se reproduire. Dans le cas de l’Atlantide, nous savons qu’il s’agit d’un cataclysme, mais dans la Bhagavad Gita, il s’agit bel et bien, dans certaines parties du globe, de destruction nucléaire et nous en avons des preuves, mais à nouveau, personne ne veut connaître la vérité.
Notre planète a 4,5 milliards d’années et les premières traces de civilisation humaine remonte à 250 000 ans actuellement, et il se pourrait qu’elles soient encore plus anciennes et que nous soyons des enfants des étoiles dotés de capacités stupéfiantes que nous ignorons encore aujourd’hui et que la société refuse de nous voir utiliser pour qu’on la laisse faire, sans nous demander notre avis sur le devenir de cette planète qui nous accueille.
La multinationale, une vision du monde
Ce qui explique également pourquoi, les multinationales qui nous dirigent manquent souvent d’esprit, ce qui passe encore, mais surtout d’âme, car ils ne valorisent que leur avenir, que leur sécurité au détriment de celle de la majorité, ce qui est intolérable pour l’humanité. L’économie prime sur l’humain.
L’humanité, chose exceptionnelle entre toute, est composée du pire comme du meilleur de l’homme. Le pire est majoritaire malheureusement, mais comme Abraham le disait à Dieu à travers les Anges :
- Et s’il n’en reste qu’un, alors ce sera celui-là.
En parlant de son neveu Loth et de sa famille, qui vivaient à Sodome avant sa destruction. Mais Victor Hugo, auteur engagé écrit également le poème : Ultima Verba, tiré de Châtiments (1853)
Si l'on est plus de mille, eh bien, j'en suis !
Si même Ils ne sont plus que cent, je brave encore Sylla ;
S'il en demeure dix, je serai le dixième;
Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là!
Il y a dans l’homme de si grandes choses qu’il est difficile d’admettre que les malfaisants dominent les bienfaisants, que le pouvoir sanctionne et puni les bienfaisants justement pour les faire taire et les réduire au silence afin de perpétuer librement ses mauvaises actions, mauvaises actions qui visent à les enrichir d’une part, et à détruire l’espèce humaine et la planète, d’autres parts, car un, plus un, plus un autre, et encore un autre, font une farandole de malfaisants destructeurs contre lesquels les hommes de bonne volonté ne peuvent plus rien faire.
La modernité à l’origine de la destruction
La lente destruction de la planète et de l’espèce humaine a commencé avec la modernité, avec l’avènement des multinationales qui ont organisé une société basée sur un capitalisme cannibale. Il ne s’agit pas ici d’un propos marxiste, mais au contraire d’une analyse globale de ce qui nous entoure, nous pourrions développer un capitalisme intelligent permettant à chacun d’en profiter, mais pour cela, il faudrait que les plus riches acceptent de partager leurs bénéfices pour produire de la richesse, alors un équilibre serait rétabli, aujourd’hui, les écarts trop grands détruisent tout espoir de réussite.
Il n’est pas nécessaire d’avoir un doctorat distribué par les mêmes qui détruisent la planète pour justifier de fausses vérités, nous devons admettre cette réalité qui nous entoure, la comprendre et changer ce monde pour que nos enfants puissent en profiter, car, pour le moment, ce n’est pas le cas, nous vivons sur une poudrière, dans un système prêt à imploser car, incohérent et illogique, une société qui construit un modèle social où le travail est une référence alors que, justement, il n’y a plus de travail, c’est cela qui pose problème aujourd’hui.
La population active est supplantée par la population inactive qu’elle doit entretenir car la société est devenue folle, cette folie qui va pousser nos gouvernants à déclencher des guerres, à éliminer les humains en créant de nouveaux virus encore plus résistants, il faut nettoyer la planète de ce parasite qu’est devenu l’humain, car trop nombreux aujourd’hui.
Il faut lui trouver un virus aussi destructeur que la Grippe Espagnole pour limiter les populations et laisser la place aux nantis ou à d’autres qui se croient capables de diriger le monde sans amour, ni créativité. Les dirigeants qui ne servent que les multinationales sont des démons qui visent à la destruction de la notre planète et de l’humanité.
Pour contrôler le monde, les multinationales font croire qu’elles donneront de l’emploi aux chômeurs des pays industrialisés, et bernent ceux qui ont de l’espoir, car les poisons qu’elles fabriquent doivent rester secrets, au point de délocaliser et de faire travailler des pauvres bougres à l’autre bout de la planète qui sont heureux de travailler mais qui, malheureusement, ne comprennent pas ce qu’ils produisent.
La ville froide
Le rôle de l’école aujourd’hui est d’instruire, mais nous créons des générations d’incultes qui se concentrent d’avantage sur la TV-réalité, sur leur Smartphone, la drogue et la pornographie, que sur des sujets culturels. Combien de fois ai-je répété que l’on se souvient de l’Italie non par ses guerres, mais par son art. Florence, Rome, Venise, des villes musées, de culture et de savoir, que sont devenues nos villes modernes ? Des cités froides, vidées de leur âme, où seul l’argent et la réussite sociale sont reconnues.
Des bovins nourris au chocolat et bonbons
Actuellement aux USA, les éleveurs de bovins qui nourrissent leur bétail à base d’une alimentation transgénique, ont trouvé une autre idée pour faire des économies, ils achètent les bonbons déclassés de l’industrie du sucre et du chocolat qu’ils mélangent aux farines, le résultat et un abaissement du coût financier de la moitié pour l’alimentation, et un grossissement de la masse graisseuse des vaches ainsi qu’un rendement de 1,5 litre/vache/jour. Mais n’oublions jamais :
Dis moi ce que tu manges et je te dirais qui tu es…
- ou
Dis moi ce que tu manges et je te dirais comment tu mourras.
Nous savons déjà que cette viande est immangeable à cause de sa pollution transgénique, qu’elle est désormais clonée, mais nous savons également que tout ce sucre et les produits chimiques qui la constitue ne sont pas meilleurs pour la santé d’un bovin comme pour celle d’un humain, car nous savons également que le sucre est l’aliment principal de la bactérie et des virus et que s’il est naturel dans les aliments, il est parfaitement dosé, alors que cette viande est hors norme et désormais distribuées à des millions d’individus, mais il semble que les américains soient corrompus par un système de pensée économique qui les mènent au profit et contre la préservation de la santé dont ils se fichent, au lieu de les mener à la raison.
Enfin, ils ne s’en fichent pas complètement puisque le soin devient une industrie, ce qui implique que la maladie est nécessaire pour faire fonctionner notre système économique, n’est-ce pas là une autre aberration ?
J’ai parlé précédemment de la grippe espagnole et de ses ravages, mais ce que nous oublions de dire, c’est qu’elle a été dévastatrice justement parce que les populations étaient trop faibles pour permettre à leur système immunitaire de se défendre, or, là est le secret, la Société industrielle du rendement pour affaiblir nos défenses immunitaires et nous rendre faibles en nous fournissant des modes d’alimentation contre nature.
Nous ne devons pas oublier que nous sommes trop nombreux sur cette planète et que soit, nous décidons de pratiquer une agriculture mesurée pour ne pas épuiser nos sols et préserver notre planète pour entretenir l’humanité, soit nous continuons à les épuiser pour faire du bio carburant pour polluer et détruire la planète et tous les êtres qui y sont attachés.
Exploiter les sols pour faire du biocarburant, mais quelle aberration, quelle folie, alors que des millions d’êtres humains meurent de faim dans le monde ?
Cette exploitation agricole devrait être menée justement en faveur de l’humain et non pas de la rentabilité.
Exploiter les sols avec du maïs transgénique qui tue les abeilles qui sont les garantes de notre survie ?
Mais qui réfléchit ainsi, à part les industriels et les multinationales et qui dirige le monde, à part les industriels et les multinationales, où est la démocratie ?
Non, nous devrions désormais parler de « Corporatocracie » ou « entrepritocratie » le monde dirigé par les grands groupes qui ont pris le pouvoir financier qui manque justement aux états.
Nous vivons une époque formidiable…