Arrow // Saison 2. Episode 17. Birds of Prey.
Je suis tout simplement en admiration complète devant cet épisode de Arrow. C’était magique et terriblement efficace. En tout cas, je ne pouvais pas demander mieux. Je crois que
l’on tient ici le meilleur épisode de la saison, tout simplement (et ce même si Laurel était là plus qu’il n’en fallait cela ne m’a pas tant dérangé). Il faut dire que The Huntress est un
personnage particulièrement jouissif et charismatique et cela permet également à cet épisode de tout simplement être l’un des meilleurs de toute l’histoire de la série. Ce qu’il y a d’intéressant
également dans cet épisode c’est le fait que Oliver n’est pas le personnage central de l’histoire mais simplement une annexe. Ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose et cela fonctionne
même plutôt bien dans son ensemble. Le fait que Arrow se concentre sur ses femmes est une très bonne idée surtout que les femmes de la série sont beaucoup plus intéressantes que
les hommes. Ce n’est que mon humble avis bien évidemment mais il y a un truc qui fonctionne très bien. De plus, les femmes de cet épisode sont aussi les femmes de la vie d’Oliver. C’est assez
ironique mais c’est quelque chose d’assez amusant, notamment quand Laurel commence à devenir légèrement lourde à ne pas vouloir obéir et que l’on manque de révéler l’identité de Black Canary et
de The Hood.
L’épisode installe un climat assez intéressant autour des personnages où le but est clairement de nous mettre dans le feu de l’action. Alors que Frank Bertinelli est arrêté, forcément Helena est
de retour. Cette dernière, aka The Huntress, est un personnage vraiment efficace et jouissif. Mine de rien dès qu’elle entre en scène c’est tout de suite autre chose et Arrow
prend une toute autre dimension. Avec cet épisode j’ai eu l’impression d’être au cinéma. Alors certes il n’y a pas les mêmes moyens mais cela ne se ressent pas justement et c’est ce qui fait le
charme de cet épisode. Il n’y a pas besoin de beaucoup de moyens quand ceux que l’on a sont bien utilisés. C’est le cas de ceux de Arrow. Les scènes d’action sont multiples et
toutes bien ficelés. L’épisode ne prend donc jamais le temps de ronronner alors que c’est ce qui avait parfois tendance à se produire avec quelques épisodes de la série il n’y a pas si longtemps
que ça. La prise d’otages était aussi une très bonne idée permettant de confiner des personnages et de créer une ambiance où tout peut être dit. L’épisode ne cherche pas non plus à nous plonger
l’ambiance avec une mise en place ridicule. Tout est d’une fluidité détonnante et fonctionne terriblement bien.
Note : 10/10. En bref, du Arrow magique, comme au cinéma.