Il y a quelque temps, j’ai suivi une formation sur la méthode.
Par méthode, je veux parler de méthodologie de gestion de projet.
Je suis dans une entreprise qui a reçu une certification formidable il y a quelques années, et une re-certification il y a peu ce qui est assez rare pour être signalé.
Cette certification indique au monde extérieur que nous sommes des dieux vivants de la méthode.
Et surtout, cette certification signifie aux internes que nous sommes que nous allons « bouffer de la doc ».
Car la méthode en question a un principe assez simple :
Il faut TOUT documenter et faire intervenir TOUS les métiers possibles et imaginables pour valider la moindre décision.
Et il m’a fallu 1 semaine entière de formation pour avoir un simple aperçu des tous les documents à créer, remplir, faire valider, présenter, démontrer, expliciter, partager, faire accepter, faire comprendre, faire lire, faire appliquer…
1 semaine pour avoir un simple verni, et ne rien maîtriser de la fameuse méthode que je dois pourtant appliquer quoi que je fasse.
Pourtant dans la théorie la méthode c’est bien. Ce n’est que du bon sens qui peut se résumer par la phrase suivante :
« j’écris ce que je fais et je fais ce que j’écris »
Mais il faut systématiquement que cette simplicité soit complexifiée à l’extrême par des personnes qui ne cherchent pas à travailler ensemble dans un but commun, mais qui ne pensent que carrière personnelle et ne cherchent qu’à se protéger.
Enfin, je ne vais pas trop parler de la méthode et en venir au sujet de mon post. Le jeu de mot. Et la naissance de ce jeu de mot.
Pendant cette formation, le formateur nous as posé la question suivante :
« Quel est le bénéfice de la méthode ».
Il ne m’a fallu plus que ça pour qu’apparaisse dans mon cerveau malade un jeu de mot pourrave, que j’attrape mon fidèle bic à la main et que je me lance dans un petit dessin qui m’a pris suffisamment de temps pour ne pas entendre la réponse.
Je ne connais donc pas le bénéfice, mais je peux vous montrer les différentes étapes de ce fameux dessin.
Et le dessin final, avec jeu de mot en prime.
Voilà.
Bonne journée les gens.
Et n’oubliez pas d’aller acheter mon livre !