Politique
Élections: pas de "bon" vote
Comme en 2012, le Café Graffiti offre l’opportunité à ces jeunes de débattre avec un candidat aux élections. Le vendredi 21 mars, Carole Poirier les a rencontrés. Plusieurs question lui ont été posées et l’une d’elle a particulièrement retenu mon attention.
Delphine Caubet dossier Politique
Ce billet n’a pas but de faire la promotion d’un parti ou d’un candidat.
Mais pendant cette rencontre, l’une de nos jeunes a posé une question très vraie, réaliste et qui résonne en beaucoup d’entre nous.
La question qui tue
À l’heure de la commission Charbonneau et de la corruption, on a plus le goût de croire en la politique. Alors, que va changer la souveraineté pour le Québec ?
Cette question aurait pu être posée sans l’aspect de la souveraineté. Un parti ou un autre, après tout, qu’est ce que ça change ?
Et la réponse de l’actuelle député d’Hochelaga-Maisonneuve, Carole Poirier, est intéressante :
Il n’est pas possible de promettre un "jardin rose" à qui que ce soit. La diversité de partis est une bonne chose. C’est l’expression de la démocratie.
En somme, le "bon" vote, le "bon" choix qui mènera à un Québec paisible et prospère n’existe pas. Bien sur, chaque parti aura une incidence différente sur la société, et satisfera différentes catégories de la population.