Elodie, sur le blog Cheeeers, répond à la question.
Avec humour et avec l'une des meilleures plumes que j'aie pu trouver sur un blog jusqu'à présent...
Extraits choisis :
Les grossièretés en rapport avec vos attributs sexuels tendent réellement à disparaître (enfin...), sauf de façon très rare.
Comme lorsque vous faites du vélo, par exemple, et qu'un de vos collègues (de toute façon vous faites tout pour changer de travail) vous assène d'un "Mmhhmm, c'est bon tout ça" (l'oeil + le sourire dégoûtants), désignant un espace situé proche de votre arrière-train alors que vous peinez sur du faux plat.
Après vous être assuré qu'il n'y ait rien d'autre que vous à cet emplacement (une de vos collègues vous a suggéré qu'il parlait peut-être d'un éventuel gâteau qui se serait trouvé sur votre porte-bagage ? Vous êtes sûre que non, car vous n'avez pas de porte-bagage, ni de gâteau sur vous en permanence...), vous en êtes restée pantoise.
[...]
Quand la mauvaise éducation se cantonne à des dérapages en rapport avec votre genre (la femelle que vous ne cesserez d'être que sur le tard) passe encore. Les ripostes sont faciles (la meilleure consistant à hurler en fixant bien l'indigent devant un grand nombre de témoins si possible et avec la voix d'Homer Simpson '"Ouuuh ouhhhh mon Dieu, aidez-moi, je suis une femme, j'ai des ovaires !! Ouuuuh ouuuhhh que je suis stupide mon dieu, qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire ???" de préférence en agitant les bras vers le haut).
A lire, d'urgence... tout comme ses autres hilarants articles.
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