Au journal du samedi

Par Alain Bagnoud

Geneviève Bridel parle de Passer, Le Lynx, Comme un bois flotté dans une baie venteuse dans Le journal du samedi du 22.3 (RTS La Première)

Voir autour de 1h 35 en suivant le lien suivant:

http://www.rts.ch/la-1ere/programmes/le-journal-du-samedi/5677021-le-journal-du-samedi-22-03-2014.html?f=player/popup#

Ou lire la retranscription ici:

Retour en suisse romande à présent, Geneviève, avec un recueil de poèmes en prose signé Alain Bagnoud aux Editions Le Miel de l'Ours.

Geneviève Bridel: Oui, ou alors de prose poétique, on pourrait dire aussi, c'est-à-dire des fragments de beauté, de plénitude, de fraternité immortalisés. Ce sont des pages traversées par la recherche de l'essentiel et la conscience d'être presque toujours passé à côté. Il y a vraiment une réflexion sur le temps dans ces moins de cinquante pages. Le livre se divise en trois parties. Passé, passant et puis, puisque la vie c'est si vite traversé, passages. C'est le contraire si vous voulez du roman de Bouyssi, ça vous incline à penser que tout n'est pas toujours absurde dans l'existence.Et en même temps que ce recueil sortent deux autres livres du valaisan Alain Bagnoud : le Lynx qui est un roman qu'il a publié il y a bien une dizaine d'années, mais entièrement réécrit, et Comme un bois flotté dans une baie venteuse, c'est le titre de l'autre livre. Ce sont des portraits ou des nouvelles aux Editions d'autre part, une autre manière de se raconter au travers de la vie des autres...