il est des jours où rien ne dure,
où le temps doucement s'évapore
nos illusions écrites sur smartphone
par delà érodées là où rien ne perdure!
que le parfum volage d'un bonheur ancien,
quand l'ame se complait d'un petit rien
les miasmes éparpillés d'une enfance mytique
je me retrouve seul de lumière baigné!
sur le chemin douteux de courriels myrifiques,
là où le vent glacial est apocalyptique
je pleure en silence de ce passé magique
qui mal me fait toujours que d'y penser sans cesse!