Comédie
Film américain
Note globale: 14/20 ♥♥♥
Date de sortie: 26 février 2013
Réalisateur: Wes Anderson
Acteurs principaux: Ralph Fiennes, Tony Revolori
Durée: 1h40
Synopsis (Allociné) : Le film retrace les aventures de Gustave H, l’homme aux clés d’or d’un célèbre hôtel européen de l’entre-deux-guerres et du garçon d’étage Zéro Moustafa, son allié le plus fidèle.
La recherche d’un tableau volé, oeuvre inestimable datant de la Renaissance et un conflit autour d’un important héritage familial forment la trame de cette histoire au coeur de la vieille Europe en pleine mutation.
Ma critique de "The Grand Budapest Hotel": On reconnaît l'univers très singulier du cinéaste Wes Anderson qui encore une fois nous étonne avec une mise en scène inventive. "The Grand Budapest Hotel" nous embarque dans ses décors inédits et graphiques, avec ses personnages rocambolesques, dans un récit qui s'étire et se superpose comme on joue avec de la pâte à modeler.
L'histoire nous embarque dans un contexte fantasmé de l'entre-deux-guerres et de la vieille Europe. L'intrigue est présentée comme un récit d'aventure, celle du légendaire Monsieur Gustave, le concierge d'un célèbre hôtel, confronter à quelques péripéties: vol d'un tableau, meurtre d'une riche cliente, conflit d'héritage...
Si la forme créative est gourmande, le théâtre en carton-pâte a parfois du mal à prendre vie. La dynamique burlesque reste généralement timide, l'histoire est assez longue à trouver son rythme, le suspense en veux-tu en voilà-pas, et la poésie se révèle plutôt pâle en émotion. C'est pas qu'on s'ennuit, mais presque.
Une forme créative et gourmande pas très fraîche pour autant...
Réalisation: OOOOO
Scénario: OOOOO
Rythme: OOCOO
Acteurs: OOOCO
Humour: OCOOO
Intéressant? Oui
Divertissant? Correct
3 bonnes raisons d'aller voir ce film au cinéma:
- pour l'univers kitsch de Wes Anderson
- pour les apparitions de nombreux acteurs
- pour la course-poursuite en ski
3 bonnes raisons de quitter la salle avant le début:
- des passages longuets
- des émotions lisses
- c'est particulier, il faut accrocher