« En réduisant les risques d’épidémie, nous contribuons à préserver la principale source de revenus de communautés qui dépendent essentiellement de l’élevage», explique Jean-Nicolas Marti, chef de la délégation du CICR au Niger.
Dans ces zones arides touchées par le passé par des conflits, où persiste l’insécurité et qui subissent les conséquences de situations conflictuelles prévalant dans certains pays limitrophes, les équilibres économiques restent fragiles. Le conflit et de récentes tensions intercommunautaires au Mali voisin ont par exemple poussé de nombreux éleveurs à traverser la frontière vers le Niger et aller faire paître leurs troupeaux dans la région de Tillabéry, accroissant ainsi la tension sur les ressources. (Lire la suite)