Il paraîtrait....

vendredi 21 mars 2014

- qu’on a appris, hier, que quatre enfants, âgés de 2 mois à 6 ans ont été découverts, début février, dans un appartement de la cité des 4.000 à La Courneuve, Seine-Saint-Denis, où ils vivaient reclus avec leurs parents depuis leur naissance, souffrant de malnutrition en autres carences. La barre de la cité compte 15 étages, plus de 300 appartements, où on a entassé depuis les années 70 des centaines de familles. Ils vivent les uns sur les autres. Et pourtant, personne ne se souvient avoir croisé un jour l'un de ces enfants ni même entendu de bruit en provenance de l'appartement. On peut conjuguer le verbe s’indigner à tous les temps, accorder l’adjectif éberlué en genre et en grand nombre, les faits resteront les faits. Partir d’un constat, et partir encore, partir très loin, s’enfuir, vers un avenir dont on pourra se réjouir.

- que des experts médicaux, puisqu’il faut faire appel aux meilleurs quand on veut le meilleur diraient des publicitaires des années 80, se sont penchés sur les vibromasseurs. Il en existe des tas. Mais le meilleur existait-il ? Sûrement, par définition. Mais il a perdu sa place, quel qu’il fût. Car ils font fait mieux. The Ultimate G est parmi nous. Je ne touche pas de royalties, ne vous précipitez pas pour me faire plaisir. Il est conçu pour s’adapter aux différents stades du plaisir féminin. L’essayer, c’est l’adopter, pour reprendre un slogan que bon nombre de marques ont utilisé. Il vous manquait, vous ne l’aviez pas, il ne vous quittera plus. Partir d’un constat, et partir encore, partir très loin, s’alanguir, vers un avenir dont on pourra se réjouir.

- que selon l'Office fédéral de la communication, 8 personnes sur 10 gardent leur téléphone allumé durant la nuit et plus d'une personne sur deux l'utilise également comme réveille-matin. Et c’est grave ! L’hypervigilance devient alors un syndrome avec angoisse et tensions pour symptômes. Et puis les ondes, les ondes maléfiques qui sont très malsaines, on en parle, des ondes ? Et la lumière émise par le téléphone qui interfère sur le rythme naturel, on l’évoque ou on ne l’évoque pas ? Le soir, le téléphone, c’est poubelle, hop. Comme ça, on le retire le matin et on pense à la sortir, la poubelle. Partir d’un constat, et partir encore, partir très loin, s’enorgueillir de réfléchir, vers un avenir dont on pourra se réjouir.