Après m'être dit que les navrants événements communautaires des trois derniers jours ne méritaient pas que j'y consacre du temps — ni que je vous oblige, ami lecteur, à y consacrer le vôtre — puis avoir soupiré, devant la persistance de la chose, que j'allais peut-être finir par ne pas y couper, sous peine de perdre mon "statut" de chroniqueur patenté (et accessoirement de décevoir ceux qui m'ont réclamé un commentaire), j'ai finalement trouvé la parade. Ou du moins celle d'un autre, admirable d'ironie mordante. Et ouvrant la porte, finalement, à toutes les interprétations que l'on veut. Alors, très chers lecteurs, si vous ne l'avez pas vue (elle a vite disparu), je vous invite à admirer la non-requête de Fabrice Ferrer.
On ne dirait pas mais tout y est dit.