[...] Il est 11 h 35 – à une ou deux heures près - quand tout à coup Frédéric Lambert, sémiologue, s’en prend « au confort des stéréotypes » dans le journalisme. Et là c’est le drame (cf : Groland, ndlr). A la tribune dans cette salle du Conseil de l’ Europe, Lambert enfonce le clou (formule stéréotypée à éviter dans les articles dignes de ce nom, ndlr) : « La langue est grégaire, nos langues sont réactionnaires, fascistes » critique l’analyste de la phraséologie en citant Roland Barthes, le pape (image d’Epinal, ndlr) de la sémiologie. Un pavé dans la marre (sic) (lapsus de l’auteur, ndlr)… (lire la suite sur le site Assises du CFJ) [...]