Aux merveilleux de fred

Fred, c’est Frédéric Vaucamps, apprenti pâtissier dès l’âge de 14 ans qui succombe un beau jour aux charmes des Merveilleux et décide de leur consacrer sa vie. 

Remontons un peu dans l’Histoire : fin XVIIIe siècle, les mondaines, à l’instar de Madame Récamier, tiennent salon. On y parle politique, économie mais on vient surtout pour voir et être vu, pour boire du thé, déguster des glaces et des pâtisseries. Dans ces salons, on abhorre la vulgarité, on est précieux, on invente un langage dépourvu de la lettre "R" jugée trop vulgaire. Dans ces salons, les "Merveilleuses" ou plutôt les Me’veilleuses se parent de tuniques en hommage à l’Antiquité, tuniques très moulantes qu’elles portent parfois mouillées pour souligner encore plus les courbes de leurs corps ; elles rencontrent leur pendant masculin : les Inc’oyables aux longs cheveux tressés et oreilles bijoutées.

Frédéric Vaucamps se retrouve si bien dans la fantaisie des Incroyables et des Merveilleuses, que le nom de l’enseigne s’est très vite imposé… au masculin. Il travaille la recette sans relâche jusqu’à trouver la plus légère possible. Meringue et crème fouettée "légère comme un nuage", voilà la base, déclinée en plusieurs parfums chocolat, amande, caramel, cerise…

Chaque boutique offre un joli spectacle car les pâtisseries sont confectionnées sous nos yeux et les vendeuses sont (toutes !) charmantes. 

Les Me’veilleux, moi j’ado’e et vous ?

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Aux Merveilleux de Fred (ouvert tous les jours sauf lundi). A partir de 2,95 €. Site.

- 2, rue Monge 75005

- 94 rue Saint-Dominique, 75007

- 129 bis, rue Saint-Charles, 75015

- 29, rue de l’Annonciation, 75016

- 7, rue de Tocqueville, 75017

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