La raison en est simple.
Elle n'a pas fait le ménage. Il y a bien encore Alain Juppé, déjà âgé, qui joue les trublions indépendants. Il y a peut-être le centre-droit, mais il est effrayé dès que la pression est là. Il y a quelques jeunes républicains, mais ils sont inaudibles.
La droite est mal partie parce qu'il y a encore ces résultats improbables, propulsés en une de quotidien.
Charles Jaigu, pour le dit journal, en rajoute dans l'analyse. On sourit et se régale.
"La révélation des enregistrements par Patrick Buisson puis celle des écoutes judiciaires de l'ex-président n'ont pas affecté l'ordre de préférence affiché par les sympathisants UMP, une semaine après leur publication dans la presse. Le sondage Ifop-Le Figaro* confirme la tendance observée depuis la crise de l'UMP, fin 2012: Sarkozy devance très largement les autres personnalités de droite pour porter les couleurs de son camp en 2017."Mais finalement, de quel échantillon parle-t-on ?