Mais celles qui causent les gros dégâts sont les activités humaines. Ces activités sont reparties par une augmentation de l’émission liée aux chauffages collectifs, domestiques et chaufferies industrielles, particulièrement au bois et au fioul. On estime environ à 15 millions le nombre de Français qui utilisent ces modes de chauffages. A cette pollution s’ajoute la cause unanimement décriée par tous - comme l’Agence pour le cancer de l’Organisation mondiale de la santé - mais qui est à la fois la moins combattue par les politiques: le diesel. 60% du parc automobile français est composé de voiture à diesel. Le choix, la raison et les lobbies économiques ajoutés au désir des politiques de protéger les entreprises automobiles françaises empêchent d’une part de surtaxer ce carburant et d’autre part d’interdire la construction de voiture diésélisés.
Les particules du diesel modifié par ces éléments nuisibles détériorent l’environnement. Autres conséquences préjudiciables à l’homme sont la mise en danger des écosystèmes, des ressources biologiques et aussi de la santé, provoquées par des gènes olfactives excessives ou par le cancer.
La récurrence avec laquelle la France dépasse chaque année le niveau des normes européennes en matière de pollution atmosphérique doit amener les gouvernants à revoir leur politique de sensibilisation. Des campagnes répétées associant tous les supports médiatiques doivent être mobilisées pour informer la population sur la dangerosité de respirer un air pollué. Les amener également à revoir leurs habitudes de consommations et leur inculquer enfin la bonne attitude pour éviter les expositions inutiles à la pollution reste plus que nécessaire.
Un geste, un effort de tout un chacun peut contribuer à améliorer la qualité de l’environnement. Les politiques quant à eux doivent reconsidérer certains choix en termes de moyens de sensibilisation. Les transports en commun continuent à rester gratuits. Des étudiants de l’Espème-Edhec initiateurs d’un happening artistique en faveur de l’Unicef. Danse...