C'est dimanche et jour de repos. Donc détente militante sur ce blog avec ce petit post qui malgré tout a un peu de sens! Je m'adresse à notre toute nouvelle néo-socialo-centriste, c'est à dire socialiste modemisée à la sauce Bayrou/Borloo. L'autre droite un peu à gauche du directeur de cabinet du maire de Vincennes et pas trop éloignée sur sa droite du socialo-libéral de l'Ani chéréquien.
Elle redessine des affiches témoins du néo-urbanisme pour la ville...Madame Michon nous expose des projets pour un Fontenay de l’avenir. Accompagnons la pour quelques minutes de détente. Voyons plus loin, dépassons la en appréhendant la ville dans le cadre d’une population mondiale en croissance exponentielle et surtout de plus en plus urbaine !
Replaçons Fontenay dans ce cadre futuriste. Pour ce faire il nous faudra repenser les sources d’approvisionnement en nourriture d’une façon locale et durable. Madame Michon aurait pu redessiner avec ambition Les Larris et son centre pour lui redonner une vie économique partagée et l’inscrire dans le développement de notre ville. Et comme elle affiche des utopies soyons encore moins raisonnable qu’elle avec ce projet de ferme verticale qui insère l’agriculture au cœur de l’urbain. Cette ferme qui couvrirait comme alternative à l’agriculture traditionnelle de surface le cycle de production des denrées nécessaires à la ville jusqu’à la gestion finale des déchets et la mise en vente des denrées par des commerces intégrés. La voilà la belle utopie pour les Larris. Le projet est sérieux, le concept est développé
Madame Michon nous expose des projets pour une ville de l’avenir. Voyons plus loin en appréhendant la ville dans le cadre d’une population mondiale en croissance exponentielle et surtout de plus en plus urbaine ! Replaçons Fontenay dans ce cadre futuriste. Pour ce faire il nous faudra repenser les sources d’approvisionnement en nourriture d’une façon locale et durable. Madame Michon aurait pu redessiner avec ambition Les Larris et son centre pour lui redonner une vie économique partagée et l’inscrire dans le développement de notre ville. Et comme elle affiche des utopies soyons encore moins raisonnable qu’elle avec ce projet de ferme verticale qui insère l’agriculture au cœur de l’urbain. Cette ferme qui couvrirait comme alternative à l’agriculture traditionnelle de surface le cycle de production des denrées nécessaires à la ville jusqu’à la gestion finale des déchets et la mise en vente des denrées par des commerces intégrés. La voilà la belle utopie pour les Larris.