Aujourd’hui, lorsque l’on choisit de vivre en paix et en harmonie après avoir vécu des expérience douloureuses, on se heurte inévitablement à la bêtise et à la jalousie, dès que l’on devient un homme public, on a beau être aimable, attentionné, courtois, on ne peut éviter le summum de la bêtise et de la méchanceté humaine qui se dérobe sous des visages souriants, mais fourbes et dissimulateurs.
La jalousie associée à sa sœur la bêtise, ne pardonne rien, et par lâcheté, elle reprend les qualités d’un individu pour les décrier, pour les trainer dans la boue sur le paillasson sur lequel les malfaisants s’essuient les pieds. Ah, se sont bien des lâches qui se détournent pour atteindre la personne sur laquelle ils ont jeté leur dévolu. Ils sont incapables, muées par une sourde faiblesse intérieure, d’agir frontalement, ils poignardent dans le dos leurs adversaires ou ceux qu’ils ont choisi comme tels, c’est leur nature, leur manque d’esprit, de souffle, d’aspiration, sans omettre le manque d’inspiration qui leur fait cruellement défaut naturellement et qui les fait se révéler avec leurs intentions belliqueuses.
Lorsque l’on dit la vérité, c’est encore pire, les menteurs se vexent et accusent celui qui les met devant le fait accompli de leur fourberie, ils insistent pour lui donner une leçon, ils tentent de trouver des failles comme ils ont l’habitude de faire couramment avec ceux qui les dérangent, ils s’assemblent, se rassemblent au cœur d’un grand conciliabule d’âmes malfaisantes, se mettent en groupe, comme une bande de rats rassemblés en cercle, pour cibler celui qui les agacent, murmurent dans le silence d’une mauvaise conscience, contre cet l’autre qui a retourné l’humiliation qu’on lui destinait vers celui qui en était à l’origine.
Alors oui, dire la vérité humilie, ils sont humiliés par leur propre bêtise de façon inattendue, mais ils ne se pardonnent pas leur erreur, ils s’accrochent, les bougres, comme des tiques à la fourrure du pauvre chien qui ignore qu’il est désormais victime d’un monstre minuscule.
Ces individus, ces tiques qui veulent le pouvoir à tout prix, se comportent de la manière la plus lâche, la plus infâme possible pour avoir le dernier mot, et le pire, c’est qu’ils insistent, ils s’acharnent, ils veulent avoir raison sur tout et sur n’importe quoi, c’est là que réside leur bêtise, sans programme, ils ont une idée fixe et la suivent sans se poser de questions.
Il est vrai que le courage n’est pas une qualité que possèdent ces arachnides. C’est pourquoi, elles se dissimulent, se cachent derrière des écrans, informatiques ou autres, pour déverser leur venin immonde, alors, je me rappelle de ma lecture d’adolescent, celle de mes humanités et de notre merveilleux Pascal qui disait que :
- [1]« Dire la vérité est utile à celui à qui on la dit, mais désavantageux à ceux qui la disent, parce qu’il se font haïr. »
C’est tellement vrai, qu’aujourd’hui en 2014, les hommes se disent évolués alors qu’ils le sont à peine plus que la bête, c’est pourquoi, nombre d’entre eux préfèrent leurs animaux aux humains, et pour cause, l’animal ne ment jamais, il ne sait pas dissimuler ses sentiments.
Parfois, le chien aboie, il attaque par derrière, parce qu’il a peur, c’est un signe de reconnaissance que l’on retrouve chez certains humains, c’est un trait de caractère des mammifères qui ne s’est pas perdu dans l’évolution.
Il est vrai également que la bêtise a toujours le dernier mot, parce qu’elle s’accompagne de la méchanceté la plus infantile de la part - c’est à titre d’exemple et au hasard - d’un jardinier abruti, dont la compagne des vieux jours fait des passes dans son dos, d’un candidat frustré de perdre son pouvoir à Gauche, d’un ex-enseignant qui se dit « anarchiste » et propriétaire foncier, persuadé que chacune de ses chroniques du web se rapproche du génie littéraire, mais qui manque cruellement de talent et surtout, de profondeur, de cette profondeur qui élève l’homme au delà même de ses propres aspirations, la bêtise que j’ai combattu toute ma vie, je la retrouve malgré moi, dans ce coin de paradis, dans l’ambition médiocre de certains hommes, de certaines femmes, qui se prennent pour ce qu’il ne seront jamais, des hommes de bonne volonté et qui critiquent ceux qui font, par une ironie malsaine et une méchanceté gratuite.
Alors [2]« on est bête par défaut d’intelligence, stupide par défaut de sentiment, idiot par défaut de connaissance », c’est une formule universelle qui s’applique admirablement aujourd’hui à ceux qui déversent leur haine sur ceux qui les dérangent, c’est ce que je fais me dira-t-on ?
Je n'ai de haine pour personne, c'est un sentiment pervers qui se retourne contre celui qui l'éprouve, je me contente de répondre à ceux qui m’attaquent déjà sur différents supports, ceux qui s’amusent à lancer des rumeurs, et qui mélangent tout, ceux qui s’acharnent lâchement pour tenter de détruire, d’éliminer celui qui les gène pour leur accession au pouvoir, c’est sûr, ils préféreraient que l’on ne parle pas des sujets qui mettent en valeur leurs incohérences et leurs mensonges.
Oh, je sais qu’ils se reconnaîtront, ils sont avides, lisent vite et sans comprendre nombre de mes notes, se cristallisant sur un mot en oubliant le sens d’une phrase, et se jettent sur leur proie pour donner un avis aussi bête qu’ils le sont sans réaliser combien cette bêtise transparait dans leurs commentaires.
Mais tout de même, il faut répondre et ne pas tendre l’autre joue, comme notre Seigneur Jésus Christ nous l’a appris, ce serait trop d’honneur leur faire, il faut qu’ils sachent que leurs mauvaises actions ne resteront pas impunies, et que dans une démocratie chaque citoyen a le droit à la parole et surtout, à la réponse qu’ils voudraient faire taire, montrant leur absolue volonté anti-démocratique.
Car ce caractère Jaloux que je pointe du doigt - même si le « je » est méprisable - dans cette note, exprime la fausse bonne volonté et l’ambition de certains, d’ailleurs, (Il faut la lire la phrase entière) : il ne s’agit pas dans le combat politique qui se mène actuellement d’aider son prochain, mais d’en profiter, il ne s’agit pas de le soutenir, mais de briller pour soi-même d’un soleil fabriqué par d’autres, c’est cela que je critique et que je n’accepte pas, car lorsque l’on est au service du citoyen, on respecte sa parole et ses engagements, on ne décide pas de s’engager pour pouvoir l’écraser du pouvoir que l’on a reçu de lui, ce serait mettre la démocratie au service de la dictature et c’est ce que veulent certaines listes de ces municipales, même ancrées à Gauche, en croyant naïvement que le citoyen est dupe ?
[3]« Vous le croyez votre dupe : s'il feint de l'être, qui est plus dupe de lui ou de vous ?
Serais-je un jaloux ? Je ne crois pas, je ne l’ai jamais été, un menteur ? Encore moins, mes écris le prouvent, j’ai ce courage de dire ce que je pense, alors que d’autres réservent en eux leur méchanceté banale, et se lâchent en critiques et en commentaires insipides autant qu’insignifiants, oh, je ne suis pas la seule victime de cette bêtise, j’en connais d’autres qui ne pensent pas comme ceux qui les jugent. La vengeance de la bêtise revêt de très nombreux visages.
C’est drôle, je ne cherche ni les honneurs, ni la gloire et c’est bien ce que ces gens ne comprennent pas, que l’on ne leur ressemble pas. Leur combat est hypocrite, il est fourbe, il pousse indubitablement les mauvais côtés de cette humanité vers l’infect rampant, il ne s’agit pas ici d’élévation mais de son contraire, et le pire je crois, c’est la venue d’un étranger qui pointe certaines erreurs du doigt, ils le supportent encore moins, comme si, ils s’étaient habitués à leur propre médiocrité, comme d’une profession de foi qui les caractérise en vérité.
C’est étonnant comme on peut vivre dans une région magnifique entouré de quelques tristes sires, minoritaires heureusement, qui prennent leur vessie pour des lanternes qui leur serviraient à illuminer les hommes de leur merveilleuse sottise et qui insistent bien, qu’ils sont d’ici et pas d’ailleurs. C’est une forme de poujadisme, de politique partisane de Gauche ou de Droite qui prend le relais des partis bolchéviks ? L’absence de réponse, le refus de la réponse imposé par ceux qui décident et qui attaquent ? Mais qu’est-ce que cela veut dire ?
Que leur bêtise héréditaire doit être imposée à la majorité sans la moindre contestation ad vitam eternam ?
Et en même temps, ils se plaignent du manque d’emploi et du manque de développement économique dans leur ville ? Mais que veulent-ils à la fin ? Vivre dans une tombe qu’ils ont eux-mêmes creusée ?
Sans changement, point de salut, sans dynamisme, point dévolution, sans compétence, point de progrès.
Heureusement que dans cette ville dans laquelle je vis, j’ai rencontré de très nombreuses personnes de grande valeur humaine et spirituelle, autant qu’elles sont discrètes et de tous les milieux sociaux, toutes origines raciales confondues, je dis à ces personnes de tous les âges, que je les aime et que je les remercie d’exister, car elles font de ce monde, une meilleure place pour l’humanité qui en a bien besoin.
Les autres, ceux qui jugent, qui montrent du doigt, qui refusent de saluer leur prochain pour des raisons infantiles, et bien, tant pis pour les autres, peut-être comprendront-ils un jour que leur Ego ne fera jamais le tour du monde pas plus que celui des étoiles du firmament, qu’ils seront vite oublié, au cœur de cette société cannibale qui consomme de l’humain comme les gosses, des bonbons acidulés, et que de chair, ils passeront à cendres comme des milliards d’êtres humains avant eux et comme des milliards d’êtres humains après eux.
Ils se trompent de combat, l’homme doit aller vers l’homme, construire avec l’homme et ne pas aller contre les intérêts de la majorité en ne valorisant qu’une chose, l’Ego, ce « moi je » insupportable qui détruit l’humain.
Nous vivons vraiment une époque formidiable…
[1] Pascal, Pensées, 1669
[2] G. Girard, Synonymes François,1736
[3] Jean DE LA BRUYÈRE, Les Caractères, 1688.