Étroits d'esprits & pleutres réalités. Pamphlet.
V. La France sous le joug d'une dictature Socialiste(1/9).
La Ve République est défunte et définitivement enterrée. Ce n'est pas une boutade, bien au contraire mais une réalité glaciale : L’état dictatorial est en marche en France. La Garde des Sceaux et Ministre de la Justice, Christiane Taubira, et le Ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, deux énergumènes qui « ne savent jamais rien » et qui « apprennent toutes les affaires par les médias », mais qui multiplient les coups de force, l'une faisant imposer, à marche forcée, par le Parlement, des lois scélérates, le second imposant, à ses services de polices, des actes de barbouzeries assez peu ragoûtantes, en ont d'abord posé les fondements et la Ministre de la Justice a porté la dictature hollandienne sur les fonds baptismaux en signant son décret d'installation pérennisant les dérives en détournement de la Démocratie qui ont été initiées, dès le 15 Mai 2012, avec l'élection à la Présidentielle de l'imposteur François Hollande. Vive le Président « normal ! » Vive la dictature hollandienne ! Et, d'autant qu'elle est adoubée par les simples d'esprits qui l'on portée au pouvoir avec l'aide indéfectible d'une majorité des médias et une frange de la magistrature à solde du Parti Socialiste, longue vie à elle.
En effet, une circulaire portant la signature de la Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, publiée, le 31 janvier 2014, au « Bulletin officiel » du Ministère de la Justice, en apporte la preuve irréfutable. Celle-ci édicte que « le garde des Sceaux doit être renseigné sur les procédures présentant une problématique d’ordre sociétal, un enjeu d’ordre public, ayant un retentissement médiatique national. » Les critères des procédures, « devant... » obligatoirement et impérativement « être signalées », sont, eux, répertoriés en annexe et concernent particulièrement « la personnalité de l’auteur ou de la victime... », en particulier les élus, les corps constitués, etc..., et la « médiatisation possible ou effective de la procédure. » En clair, la Garde des Sceaux, instaurant l’allégeance de la justice, alors qu'elle ne cesse de clamer, et la meute de loups du Parti Socialiste à l'unisson, que « la justice est indépendante », oblige, officiellement, les magistrats à, d'une part, violer les secrets de l'instruction et, par la médiatisation, - des primes étant versées aux journalistes qui cirent les bottes aux hollandistes, de fait des journalistes qui sont achetés par l’État pour le servir -, à jeter l'opprobre sur les personnalités dans les viseurs du Président de la République et du Gouvernement, et, d'autre part, tous les moyens à mettre en œuvre pour arriver à leurs fins étant requis, - mises sur écoutes et perquisitions à profusion -, à troquer leur costume de Juges et de Procureurs pour celui de Policier Politique.
A cette flagrante constatation se rajoute, en confirmation à l'état de délire dans lequel évolue la Garde des Sceaux, - et par elle, étant Ministre, le Président de la république, François Hollande, le Premier Ministre, Jean Marc Ayrault, le Ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, l'entier Gouvernement et toute la Direction du Parti Socialiste - , la publication de son livre, aux Éditions Flammarion, « Paroles de liberté. » Dans un style abject et outrancier puisant ses sources dans les caniveaux et les égouts, s'en prenant exclusivement aux politiciens de Droite, elle y éructe et y vomit un réquisitoire, aux consonances mi-hitlériennes, mi-bolcheviques contre une France « tombée aux mains des obscurantistes, des escrocs de l’estrade, des nationalistes et de ces trafiquants d’angoisse qui brandissent une identité crispée et manient un langage buveur de sang… » Les amalgames à deux francs six sous, insipides, venimeux, biaisés, insidieux, hypocrites, sournois et fallacieux, véritables appels à la mise en charpie de tout ce qui pourrait porter et qui porte contredit à ses convictions politiques et à celles de ses amis de parti, et apologie au racisme anti-français, - des amalgames rappelant les heures noires des années 1930 -, jettent en pâture, - les appelant au combat « Cette bataille sémantique, nous la livrerons et nous ne ferons aucun quartier » -, aux troupes socialistes et aux groupes extrémistes de Gauche et d'Extrême Gauche qui ne rêvent, sous la haute protection du Ministre de l'Intérieur, que de casser du français et que de détruire ce qu'il peut rester de la France en lambeaux, « les racistes aux anti-mariage homosexuel », « les frondeurs antitaxes », « les délinquants anti-IVG », « la race blanche se commettant dans des démences meurtrières racistes, des stigmatisations, des discriminations raciales », et « l'anti-islamisme et l’anti-sémitisme. »
Ainsi, diligenté par François Hollande, Christiane Taubira et Manuels Valls étant aux manettes, par des mises sous écoute, des déferlements de perquisitions, à l'encontre de Nicolas Sarkosy, de Maître Thierry Herzog, de Claude Guéant, de Brice Hortefeux, de l'avocat général de la Cour de Cassation Gilbert Azibert, de l'ancien patron de la Police Nationale Michel Gaudin, et plausiblement des dizaines d'autres... et, par les multiples dépôts de plaintes déposées par des loups socialistes, contre les élus de Droite et d'Extrême Droite, s'éclaire, sous un angle spécieux, la face cachée de l'acharnement politique auquel se prête le pouvoir en place depuis le 15 Mai 2012 et, par les médias, depuis le 16 Mai 2007...[...]