Comme toujours Peter Laurelli nous apporte des films qui nous filent un sourire de bonheur qui va d’une oreille à l’autre. Souvent ses films nous faisaient voyager du côté de Long Island, Montauk et toute la côte Est au Nord de New York. Là, Peter nous emmène beaucoup plus loin, avec un film formidable, comme d’hab. Un quart d’heure de bonheur, d’eau salée dans la figure, la sensation de la mer chaude le long des jambes, le sel qui pique un peu, et la joie, éternelle de pêcher dans le vent, en ayant le sentiment d’être seul au monde, sur les flats ou ce même sentiment, là à quelques heures au Nord de New York, cette sensation unique que nous ne ressentons qu’à la pêche.