« C’est l’histoire d’une jeune fille âgée d’à peine plus de 20 ans, d’un drame dans sa vie qui semblait être sans retour, d’une chute dans la maladie, dans la perte de soi. Ce récit est une bataille contre l’adversité. Il parle de la mémoire parfois si fragile, d’une convalescence inattendue, de comment, un jour, on réapprend son alphabet, à compter, à retrouver ses souvenirs. »
Je lis assez rarement des BD. Pas forcément faute d’aimer ça, mais sans doute plus parce que ce n’est pas donné et que je n’en ai pas le réflexe. Lorsque ma soeur m’a prêté La Parenthèse, j’ai tout de suite eu envie de me plonger dans cette histoire autobiographique qui parle d’une jeune femme qui tombe gravement malade et perd tous ses repères.
Via de très beaux dessins au style différent de ce que l’on a l’habitude de voir, Elodie Durand parvient avec beaucoup de talent à faire passer ses émotions et sa douleur. On trouve aussi dans cette BD des planches dessinées durant la maladie de l’auteure.
Un récit bouleversant qui ne vous laissera pas indifférent et surtout une très belle bande-dessinée.