Le 4 février dernier est sorti chez MA Editions, Les héritiers de Camelot, letroisième roman de Sam Christer.
A Kensington, dans le Maryland, Amir Emmanuel Goldman est assassiné dans sa boutique d’Antiquité pendant la nuit. Le lendemain matin à San Francisco, Mitzi Fallon commence son premier jour à son nouveau poste au FBI au HRI, le service des crimes historiques, religieux et inexpliqués, après avoir quitté la police de Los Angeles.
Ce matin marque également le retour à Londres de Sir Owain Gwyn, l’ancien ambassadeur de Grande-Bretagne aux Etats-Unis.
Trois évènements qui n’ont en apparence aucun lien. Cependant, quand le lieutenant Fitzgerald de la Brigade criminelle de Washington, en charge de l’enquête sur le meurtre de Goldman, fait appel aux services du HRI, après avoir découvert le dessin d’une croix antique sur les lieux du crime, le lien va se faire rapidement.
Le duo improbable Fallon/Fitzgerald va aller de surprise en surprise, notamment en découvrant l’existence de l’OSSA, l’Ordre secret et sacré des Arthuriens, une organisation secrète dont le descendant du Roi Arthur serait le dirigeant et qui assure le maintien de la pays dans le monde.
Je vous laisse découvrir quel rôle chacun de ses personnages va jouer dans cette sombre histoire.
Pour son troisième thriller, Sam Christer nous a encore gâté. Après un début un peu poussif, mais indispensable pour mettre en place l’intrigue, le livre va crescendo dans la suspense. Et à ce moment, vous n’aurez plus envie de vous arrêter de lire pour connaître le dénouement de ce récit qui flirte, comme cela plait à l’auteur, avec l’histoire et l’ésotérisme.
Un bon moment de lecture, en résumé.
Les héritiers de Camelot de Sam Christer, traduit de l’anglais par Patricia Barbe-Girault, MA Editions, 440 pages, 17,90 €.