Quatrième de couverture :Après Je suis mort, Et alors ? et Ma vie d'avant, ma vie d'après, Philippe Bouvard achève sa trilogie. En fait, une "tri-thérapie" contre l'angoisse du trépas. Non seulement, et pour bénéficier d'un surcroît de prolongations, il a choisi un titre aussi long que son existence, mais il s'avise que tant qu'on peut parler de la mort, c'est qu'on est toujours vivant. Ainsi continue-t-il à vouloir dédramatiser ce qui, lorsque l'on ne meurt pas de rire, demeure quand même une tragédie. Moins en raison d'un manque total de renseignements sur le dernier voyage que du fait qu'on ne pourra pas honorer ses rendez-vous du lendemain. Tour à tour drôle et émouvant, ce livre à l'ironie mordante regorge d'anecdotes sur l'avant et l'après, de conseils précieux pour survivre dans la tombe, et de réflexions sur le "grand départ".
Les morts seraient moins tristes s’ils savaient qu’ils pourront encore se tenir les côtes en regardant les vivants, Philippe Bouvard
Publié le 11 mars 2014 par Bouquinovore @bouquinovoreQuatrième de couverture :Après Je suis mort, Et alors ? et Ma vie d'avant, ma vie d'après, Philippe Bouvard achève sa trilogie. En fait, une "tri-thérapie" contre l'angoisse du trépas. Non seulement, et pour bénéficier d'un surcroît de prolongations, il a choisi un titre aussi long que son existence, mais il s'avise que tant qu'on peut parler de la mort, c'est qu'on est toujours vivant. Ainsi continue-t-il à vouloir dédramatiser ce qui, lorsque l'on ne meurt pas de rire, demeure quand même une tragédie. Moins en raison d'un manque total de renseignements sur le dernier voyage que du fait qu'on ne pourra pas honorer ses rendez-vous du lendemain. Tour à tour drôle et émouvant, ce livre à l'ironie mordante regorge d'anecdotes sur l'avant et l'après, de conseils précieux pour survivre dans la tombe, et de réflexions sur le "grand départ".