Quatrième de couverture :Après Je suis mort, Et alors ? et Ma vie d'avant, ma vie d'après, Philippe Bouvard achève sa trilogie. En fait, une "tri-thérapie" contre l'angoisse du trépas. Non seulement, et pour bénéficier d'un surcroît de prolongations, il a choisi un titre aussi long que son existence, mais il s'avise que tant qu'on peut parler de la mort, c'est qu'on est toujours vivant. Ainsi continue-t-il à vouloir dédramatiser ce qui, lorsque l'on ne meurt pas de rire, demeure quand même une tragédie. Moins en raison d'un manque total de renseignements sur le dernier voyage que du fait qu'on ne pourra pas honorer ses rendez-vous du lendemain. Tour à tour drôle et émouvant, ce livre à l'ironie mordante regorge d'anecdotes sur l'avant et l'après, de conseils précieux pour survivre dans la tombe, et de réflexions sur le "grand départ".
Magazine Culture
Les morts seraient moins tristes s’ils savaient qu’ils pourront encore se tenir les côtes en regardant les vivants, Philippe Bouvard
Publié le 11 mars 2014 par Bouquinovore @bouquinovore
Auteur: Philippe
Bouvard
Titre Original: Les morts seraient moins tristes s’ils savaient qu’ils pourront encore
se tenir les côtes en regardant les
vivants
Date de Parution : 22 janvier 2014
Éditeur : Flammarion
Nombre de pages : 286
Prix : 19,00€
18,05€
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Quatrième de couverture :Après Je suis mort, Et alors ? et Ma vie d'avant, ma vie d'après, Philippe Bouvard achève sa trilogie. En fait, une "tri-thérapie" contre l'angoisse du trépas. Non seulement, et pour bénéficier d'un surcroît de prolongations, il a choisi un titre aussi long que son existence, mais il s'avise que tant qu'on peut parler de la mort, c'est qu'on est toujours vivant. Ainsi continue-t-il à vouloir dédramatiser ce qui, lorsque l'on ne meurt pas de rire, demeure quand même une tragédie. Moins en raison d'un manque total de renseignements sur le dernier voyage que du fait qu'on ne pourra pas honorer ses rendez-vous du lendemain. Tour à tour drôle et émouvant, ce livre à l'ironie mordante regorge d'anecdotes sur l'avant et l'après, de conseils précieux pour survivre dans la tombe, et de réflexions sur le "grand départ".
Quatrième de couverture :Après Je suis mort, Et alors ? et Ma vie d'avant, ma vie d'après, Philippe Bouvard achève sa trilogie. En fait, une "tri-thérapie" contre l'angoisse du trépas. Non seulement, et pour bénéficier d'un surcroît de prolongations, il a choisi un titre aussi long que son existence, mais il s'avise que tant qu'on peut parler de la mort, c'est qu'on est toujours vivant. Ainsi continue-t-il à vouloir dédramatiser ce qui, lorsque l'on ne meurt pas de rire, demeure quand même une tragédie. Moins en raison d'un manque total de renseignements sur le dernier voyage que du fait qu'on ne pourra pas honorer ses rendez-vous du lendemain. Tour à tour drôle et émouvant, ce livre à l'ironie mordante regorge d'anecdotes sur l'avant et l'après, de conseils précieux pour survivre dans la tombe, et de réflexions sur le "grand départ".