Un mien ami me communique le lien suivant du POINT (ICI) où Monsieur Dupont, l'homme-vin de cet hebdo actuellement chaud en couleur, fait une critique du livre (!) de Madame Saporta qu'il veut supérieure à celles publiées ici ou là. Certes, souvent avec un accès d'humeur particulièrement marqué.
Une façon de dire que si j'ai quasi sorti Bertha pour mon propre billet, elle n'a pas vraiment été utilisée intensivement. On est resté correct.
Mais le sujet de ce billet est autre.
On a parfois la mémoire tenace. Et en l'occurrence, oui, je l'ai.
Lors de la fameuse session du GJE où Lascombes est sorti premier dans le millésime 2005 où il y avait tous les premiers et deuxièmes, lors de cette session où nous avions mis en place un protocole de dégustation d'une rigueur à nulle autre pareil, vous vous souvenez probablement à quel point certains organes de presse se sont pincés le nez au vu des résultats où un manant de deuxième devançait des premiers.
Quand la critique vient d'un candide ou autre énergumène de troisième zone, peu me chaut. Mais quand vous constatez qu'un journaliste ayant sa carte de presse, travaillant dans un hebdo à priori sérieux, qui se place au-dessus du lot et veut toujours déguster seul, commence à dire, à écrire que vous avez triché sans même prendre la peine de nous contacter pour avoir le détail de nos procédures, vous montez les tours. En tout cas, c'est mon fait.
Donc quand je vois le même journaliste qui se drape dans une dignité dont il s'estime le seul porteur, et qu'il joue les gentils censeurs d'autrui, je dis :
"faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages".
Merci Monsieur Dupont d'éviter de donner des leçons à autrui et essayez surtout d'avoir pour chacun la même indulgence que vous avez pour Madame Saporta. On en est loin, très loin.
Et j'attends toujours vos excuses, vous qui nous avez traité de tricheur.
C'était ma poussée d'urticaire du jour : pas grave, cela va vite passer en dégustant chez Valentini.