reflexions après avoir vu : au théâtre : je dois tout à ma mère, les tribulations d'une étangère d'origine, les enfants du paradis, apres avoir vu au cinéma : film documentaire : Au bord du Monde et aprés avoir lu : La vie privée d'Olivier Steinerc'est donc d'une Nathalie modifiée que je vous parle.Je suis fatiguée de quelle blessure ? et voudrais être aspirée par le flot de mes échecs répétés, disparaître, c'est pour cela que nous vous on échoue sur la lande jusqu'à la clochardisation des très grands exclus, jusqu'à la mort provoquée, jusqu'à l'avortement jusqu'à la prison la prostitution la maladie chronique : alcoolisme boulémie anorexie bipolarisation. Et puis l'art permet à certains de rester entre deux eaux sur une langue de sable de pouvoir penser écrire peindre jouer d'un instrument chanter mettre un nez rouge et regarder le vol des grands échassiers qui annoncent la fin de l'hiver.Résilience par métier activité générosité ? auto-destruction depenses pertes ? avoir un enfant..... plus les gens sont malheureux plus ils ont d'enfants ou n'en ont pas du tout, cela depend du contexte médico-social-culturel.... valeureux ou malheureux, la guerre contre soi ou contre les autres à cause d'un manque d'amour ou des amours contrariées qui ont creusé notre tombe, ou celle de tout un groupe? Se tenir au bord du trou pendant 3 générations... mais un Dieu qui sait veille un dieu que personne n'a reconnu et qui ne s'éveille pas, pour tous... La culpabilisation c'est aussi une ligne droite à ne pas dépasser qui protège meurtrit est cause d'accidents nombreux mais rescape sauve rend les otages.... redonne force et sourire, et gestes élans saveurs solidarité...on ne peut aujourd'hui que scuplter dans la difficultéJe suis allée voir au bord du monde ce si beau film sur Paris mais aussi ses clochars et aprés avoir discuté assisté au débat avec le directeur de la photo, photographe des exclus, j'ai donné 10 euros à un jeune homme avec son chien -je n'avais pas de monnaie, ils sont des milliers il aurait fallu faire quelque chose au début- les jeunes SDF ne sont pas dans le film, il m'a dit merci et après de loin merci madame pour le chien, et j'ai recrié mais c'est pour vous...
les gestes à la tire, gouttes d'eaux pour la force d'y croire;Mon père est surcitaire "maladie de la mort" ma mère le torture puisqu'e'lle s'occupe de lui en n'en pouvant plus, on atend le trop c'est trop, elle ne veut que personne d'autre s'en occupe et moi j'ai dit à ma mère que je ne veux pas toucher le corps de mon père tant qu'elle sera là que c'est sa place ou ceux d'aides soignants infirmières.mon père m'a dit qu'il rêvait être sur un fleuve et ne pouvoir regagner la rive car les reversants sont trop escarpés il ne peut que glisser chuter, les pères font leur filles. Mon père n'est pas croyant mais il se voit aller vers l'enfer.mais il fait beau dehors j'ai entendu une écrivain (un 1er roman) Ayana Mathis enfant unique dire qu'elle ne voulait pas d'enfant ou alors deux ou peut -être un animal de Ciehttp://www.franceinter.fr/emission-cosmopolitaine-ayana-mathis-volker-schloendorffhttp://www.theatreonline.com/Spectacle/Je-dois-tout-a-ma-mere/45687#infospectaclehttp://www.telerama.fr/cinema/films/au-bord-du-monde,482603.php
http://evene.lefigaro.fr/livres/livre/olivier-steiner-la-vie-privee-2588169.php
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