Tous complices enfin. Les hommes politiques ne sont pas les seuls en jeu. Que penser de nos syndicats dont la représentativité est bien faible au regard de celles de leurs homologues des pays voisins ? Comment ne pas voir qu’avec les organisations patronales, ils sont eux aussi partie du problème français, puisque le paritarisme est aux commandes d’une majeure part des dépenses publiques ? Comment croire que l’on pourra s’en sortir par le haut, si la formation professionnelle reste coupée de l’Éducation nationale et de l’enseignement supérieur ? Comment imaginer qu’une politique de l’emploi efficace peut rester centralisée ?...
De cet entremêlement de responsabilités, monte de plus en plus la sensation d’une complicité de fait qui semble interdire tout changement.Fuir ou se jeter dans les bras des extrêmes ?
Voir aussi mes articles récents :- L’Europe, l’Europe, L’Europe- Seuls des hommes nouveaux pourront générer le sursaut nécessaire-Ne rêvons pas d'un De Gaulle réinventé !-Nous sommes en train de mourir de nos peurs