« Si Nicolas Sarkozy n’a pas prévu de s’exprimer publiquement sur le fond de l’affaire — en tout cas pour l’instant –, il n’en pense pas moins.
« Je suis sidéré. Mettre sur écoute un ancien président de la République, c’est grave, très grave. Il faut de bonnes raisons. Ce ne sont pas des méthodes normales », a-t-il confié, hier, à un de ses amis. »