En ce 8 mars, journée internationale de la femme, je voudrais juste me moquer un peu de mes collègues hommes qui croient que sans eux le monde tournerait à la catastrophe!
Mais, mes amis, nous sommes déjà en pleine catastrophe, depuis belle lurette et pourtant ce sont nous, LES HOMMES qui dirigeons ce foutu monde!
De la principauté de Monaco à la république de Chine, de la Russie à l’émirat de Qatar, ce sont les machos qui tiennent les commandes, avec les résultats que nous connaissons et que nous déplorons! Alors de la modestie, messieurs, de l’autocritique aussi!
Laissons faire ces dames et nous verrons le résultat! A travers le monde, les expériences de ce genre sont nombreuses et souvent fort intéressantes! Examinons ensemble ce montage-photographique :
Le monde sera surement différent, peut-être meilleur, nous n’en savons rien! Mais ce n’est pas en nous occupant de tout que nous trouverons les solutions idoines à des problèmes auxquels nous ne comprenons parfois rien!
A cet égard, je rappellerai le sommet convoqué par le président américain Barak H. OBAMA pour préparer sa fameuse réforme de la santé : 38 parlementaires y siégeaient dont seulement 4 femmes pour discuter de santé sexuelle, de séjours hospitaliers post-nataux, de gynécologie Autant de sujets que les hommes les plus compétents, les plus ouverts et les mieux disposés ne peuvent pas maitriser.
Alors, messieurs, laissons ces dames prendre leurs responsabilité tout en continuant à prendre les nôtres! Ne faisons comme cet énergumène qui prétendait appliquer dans son couple le “partage des tâches” : il laissait à son épouse le traitement des affaires courantes de la famille (gestion du budget, éducation des enfants, vacances, gros achats) et se réservait les grandes décisions qui concerne la nation (choix du parti lors des élections législatives).
Pour finir, mesdames, je vous dédie cette chanson de Jean Ferrat où il se demandait, sur des paroles Louis Aragon : “QUE SERAIS-JE SANS TOI? avec cette réponse magnifique : “…….QUE CE BALBUTIEMENT“.
Bonne fête, Mesdames!