Dans les commentaires de mon précédent billet samedinical, Lou de Libellus a mentionné sa collection de Codex Urbanus.
Ces petites bêtes sont apparues sur les murs de Paris à la fin de l'année 2012 et sur les nôtres quelques mois plus tard. Elles évoquent les pages d'un Codex qu'un esprit facétieux aurait dispersé dans la cité. Ils évoquent une civilisation ancienne, à jamais disparue, une sorte d'anachronisme surréaliste...