Soft Machine #7:
Mike Ratledge: claviers
John Marshall: batterie
Karl Jenkins: cuivres, claviers
Roy Babbington: basse
Hugh Hopper partit, il est remplacé par une vieille connaissance, Roy Babbington (ex-Delivery), qui avait déjà joué avec le groupe sur les albums "Fourth" et "Fifth".
En octobre 1973, paraît le nouvel album: "Seven", produit par Ratledge, Marshall, Jenkins & Babbington
Nettle bed (Karl Jenkins)
Carol Ann (Karl Jenkins)
Day's eye (Mike Ratledge)
Bone fire (Mike Ratledge)
Tarabos (Mike Ratledge)
DIS (John Marshall)
Snodland (Karl Jenkins)
Penny Hitch (Karl Jenkins)
Block (Karl Jenkins)
Down the road (Karl Jenkins)
The german lesson (Mike Ratledge)
The french lesson (Karl Jenkins)
Ecoutez "Nettle bed" qui ouvre l'album, et vous comprendrez tout de suite ce que je veux dire par un jazz fusion, moderne, rythmé, voir speedé, dansant, bref un jazz pas chiant.
Karl Jenkins (encore lui) modernise le son du groupe avec ses synthés qui vont prendre le pas sur les autres instruments dans le groupe.
"Seven" a été souvent considéré par certains (Qui? serait en droit de demander un éditeur en chef! Ta mère à oilpé lui répondrais-je d'un air énervé!) comme le dernier grand disque de Soft Machine.
A ces Jean-foutres je répond "Foutaises, balivernes, billevesées !" (diantre quel culot!), perso j'ai préféré les disques de Soft Machine A PARTIR de "Seven".
D'après la majorité des auditeurs, néanmoins, et je suis bien obligé de me rallier à cette majorité-là pour une fois, "Seven" sera le dernier album de Soft Machine à porter un numéro comme titre.
C'est ce que je pense et rien sur Terre ou à Urba City, ne me fera changer d'avis.
Dès 1974, le son de Soft Machine va changer encore une fois, avec l'arrivée d'un guitariste et pas n'importe lequel: Allan Holdsworth, l'un des guitaristes les plus brillants et des plus sous-estimés des années 70.
© Pascal Schlaefli
Urba City
7 Mars 2014
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