Lundi 20 Janvier
Grand Palais:
18h30 : Cycle Guerres d’hier, guerres d’aujourd’hui: Pourquoi se bat-on aujourd’hui ?
A l’occasion de la clôture du cycle guerre, il convient de s’interroger sur la nature et les enjeux des conflits contemporains. Qu’est-ce qu’une guerre juste au XXIe siècle ? Pour qui, ou contre qui, est-il encore justifiable de se battre ? Se bat-on pour son pays, pour sa religion, pour ses idées ? La paix mérite-t-elle qu’on tue en son nom ?
Avec Paulina Dalmayer, journaliste et écrivain, Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, chargé de mission Affaires transversales et sécurité au Centre d’Analyse, de Prévision et de Stratégie (CAPS) du Ministère des Affaires Etrangères, auteur d’une Ethique des relations internationales (PUF, 2013), et Sami Makki, sociologue et historien, chargé de conférences à l’Ehess.
Palais de Chailot :
18h30-20h30: Le XIXe, un siècle d'ornements en architecture. Cours de Jean-Michel Leniaud, historien, directeur de l'Ecole nationale des Chartes
Mardi 21 Janvier
Institut national d'histoire de l'art:
18h15-1930: La collection d’estampes japonaises d’Henri Rivière (1864-1951)
Valérie Sueur-Hermel, conservatrice au département des Estampes et de la photographie, BnF
Hélène Bayou, conservatrice en chef du patrimoine, musée Guimet
Le peintre-graveur Henri Rivière est un acteur essentiel du renouveau de l’estampe en couleurs à la fi n du XIXe siècle. Artiste japonisant par excellence, il a réuni une importante collection d’estampes japonaises qui ont nourri son œuvre. La gravure emblématique d’Hokusai, Sous la vague au large de Kanagawa, première vue de la série des Trente-six vues du mont Fuji, fait partie de cette collection de plus de huit cents pièces entrées en 2006 par dation au département des Estampes et de la photographie de la BnF en même temps que le fonds d’atelier de Rivière. Ce chef-d’oeuvre de l’ukiyo-e est au coeur du japonisme de l’artiste.
Accès : 6 rue des Petits-Champs
entrée libre
Institut national d'histoire de l'art
9h: Rencontre autour de l'exposition Decorum, Tapis et tapisseries d’artistes (jusqu’au 9 février 2014 au Musée d’art moderne de la ville de Paris - MAMVP), se propose de révéler les nouveaux regards portés sur le textile, ses motifs et ses enjeux. Objet à la fois visuel et tactile, esthétique et fonctionnel, il transcende les habituelles frontières des arts décoratifs, du design et de l’artisanat.
Archives nationales
Boris Vian, un ingénieur très parisien. Conférence de la Société de l'histoire de Paris et de l'Île-de-France par Jean-François Belhoste, directeur d'études à l'École pratique des hautes études et membre de l'association Centrale-Histoire.
L'itinéraire personnel de Boris Vian s'inscrit tout entier dans le cadre parisien. Entré à l'École centrale des arts et manufactures, il y fit sa scolarité rue Montgolfier, à deux pas du Conservatoire des arts et métiers, entre 1940 et 1942. Né à Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine), il avait fait ses classes préparatoires au lycée Condorcet. Et c'est place de la Bourse qu'il trouva son premier emploi à l'Association française de normalisation (Afnor) où il resta jusqu'en 1946 et écrivit ses premiers romans. Amoureux du jazz, Vian passait cependant ses soirées à jouer de la trompette dans les caves, ce qui le conduisit à Saint-Germain-des-Prés où il côtoya Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir au Café de Flore et aux Temps Modernes. Son œuvre non seulement se ressent de cette vie toute parisienne, mais exprime aussi, à peine voilée, sa formation axée sur la technique et les sciences appliquées. L'Association des Centraliens a choisi Boris Vian comme « Centralien de l'année 2013 » et la promotion des élèves porte son nom.
Musée immigration
18h30 : Des musulmans dans l’histoire de l’Europe
Repenser la Méditerranée (XVe siècle-1820). Conférence de Jocelyne Dakhlia et Bernard Vincent, EHESS, présentée par Marianne Amar, Musée de l’histoire de l’immigration.
Mercredi 22 Janvier
Cinémathèque française :
18h: Séminaire Gilles Deleuze : "Faire le Gilles"
Robert Cantarella a entrepris de restituer les cours que Gilles Deleuze a donnés à l'université de Paris 8, au début des années 1980, premier effort conceptuel d'une publication à venir.
Avec la complicité d’Alexandre Meyer. Avec le soutien d’agnès b.
Entrée libre.
20h30: À la suite de la conférence, à 20h30, projection du film "L'Explorateur en folie" de Victor Heerman.
Grand palais :
18h30: Rue de la Paix, capitale du luxe Belle époque
Conférence par Wilfried Zeisler, docteur en histoire de l’art.
1899 : Cartier s’installe rue de la paix où fleurissent de nombreuses maisons de luxe. Perpétuant un savoir-faire traditionnel, les créateurs implantés dans ce quartier en font le centre mondial du luxe. Les aristocraties européennes et la grande bourgeoisie du commerce et de l’industrie forment la clientèle cosmopolite du luxe parisien. La multiplication des innovations techniques et stylistiques, favorisant le développement du «luxe artistique», répond aux attentes d’une clientèle élégante qui s’adonne à de multiples activités sociales et aux nouveaux loisirs que sont le sport, l’automobile ou l’aéronautique.
Conférence par Wilfried Zeisler, docteur en histoire de l’art.
1899 : Cartier s’installe rue de la paix où fleurissent de nombreuses maisons de luxe. Perpétuant un savoir-faire traditionnel, les créateurs implantés dans ce quartier en font le centre mondial du luxe. Les aristocraties européennes et la grande bourgeoisie du commerce et de l’industrie forment la clientèle cosmopolite du luxe parisien. La multiplication des innovations techniques et stylistiques, favorisant le développement du «luxe artistique», répond aux attentes d’une clientèle élégante qui s’adonne à de multiples activités sociales et aux nouveaux loisirs que sont le sport, l’automobile ou l’aéronautique.
Conférence par Wilfried Zeisler, docteur en histoire de l’art.
1899 : Cartier s’installe rue de la paix où fleurissent de nombreuses maisons de luxe. Perpétuant un savoir-faire traditionnel, les créateurs implantés dans ce quartier en font le centre mondial du luxe. Les aristocraties européennes et la grande bourgeoisie du commerce et de l’industrie forment la clientèle cosmopolite du luxe parisien. La multiplication des innovations techniques et stylistiques, favorisant le développement du «luxe artistique», répond aux attentes d’une clientèle élégante qui s’adonne à de multiples activités sociales et aux nouveaux loisirs que sont le sport, l’automobile ou l’aéronautique.
Musée d'art et d'histoire du judaïsme:
19h30 : The revival of Jewish mysticism in the late twentieth century
Conférence en anglais. Par Boaz Huss, professeur de pensée juive à l’université Ben Gourion du Néguev, à Beer-Sheva
sponibles.
Quai Branly:
18h: Cycle Histoire de l'esclavage. Autour de l’affaire Furcy, l’esclavage à la Réunion
par Mohammed Aïssaoui, journaliste et écrivain
Arts Déco :
La couleur dans le bijou, modes et tendances. Conférence de Côme Remy, expert des Arts Décoratifs du XXe siècle. Le XXe siècle a été composé dans le domaine du bijou de décennies chromatiques... et des styles chromatiques opposés !
Tarifs : 5 € / Amis des musées 4 € / Etudiants 2 €
Information et réservation jusqu’à la veille de la séance par mél. : conference@lesartsdecoratifs.fr.
Jeudi 23 Janvier
Arts Déco:
18h30-20h30: Conférence L’affiche politique de 1920 à aujourd’hui, le politique, l’artiste et le publicitaire, coexistence et frictions.
L’opinion aujourd’hui n’est plus formée par l’art engagé mais principalement par des médias commerciaux surpuissants. En ces temps de déprise politique, Joël Auxenfans reproduit ses propres peintures en affiches ou tracts, qu’il colle ou distribue. Interrogeant la place de l’art dans la politique et réciproquement, il a invité Luciano Cheles, historien de l’art, Romain Ducoulombier, historien, et Maxence Alcalde, critique d’art, pour échanger sur cette question qui ne date pas d’hier : entre le publicitaire, le politique et l’artiste, quelle coexistence et pour quelle efficacité ?
Institut national d'histoire de l'art:
12h-14h: Collectionner l’Autre et l’ailleurs : objets d’art, objets de savoir, objets d’agrément
Can Bilsel, Department of Art, Architecture + Art. History, University of San Diego. Zeus in Exile: Archaeological Restitution as Politics of Memory
Gaité lyrique:
19h: Conférence Architecture, ville et culture numérique
Architecture, ville et culture numérique | Conférence | Jeudi 23 janvier 2014 | La Gaîté lyrique
http://www.gaite-lyrique.net/architecture-ville-et-culture-numerique
Musée d'art moderne de la ville de Paris:
19h15 et 20h15: concert electroaccoustique dans expo Decorum
« 20 fois sur le métier remettez votre ouvrage ». Jean-Philippe Antoine & Jean-Jacques Palix
19h 15. Plan-séquence 01.
Achille : Métier : Tisser = Piano : Mai : Iceberg = Bourdon : Cloches : Naufrage = Berceuse : Contact : Vapeur = Organ : Bip bip : Fausto
20h 15. Plan séquence 02.
Pianissimo : Préparé : République = Minuit au jardin de Monet : Feux d’artifice : Vapeur = Hymnes : Acco : Craquements = Objets : Métier : Galets = Jeune homme triste dans un train : Jungle : Bourdon = Basse
Prix d’une entrée dans l’exposition Decorum, accès au concert gratuit
Vendredi 24 Janvier
Quai Branly:
18h30 : Rencontre avec Dario Gamboni
A l’occasion de la parution de Paul Gauguin au « centre mystérieux de la pensée » (éditions Les Presses du réel, 2013). Cet essai renouvelle l’étude de Gauguin en reliant ses intérêts pour la psychologie, l’ethnologie, l’histoire des religions et les sciences naturelles, sans oublier l’art de tous les temps et de toutes les cultures.
Avec la participation de Carlo Severi, directeur de recherches (CNRS) et directeur d’études (EHESS).
Beaux arts :
Exposition gratuite des travaux des élèves de l'École des Arts Décoratifs
Vendredi 24 et samedi 25 janvier 2014 de 13h à 19h
31rue d'Ulm 65005 Paris
Samedi 25 Janvier
Cinémathèque française :
14h30: Film "Les Jours où je n'existe pas" + Leçon de cinéma "Fitoussi par Fitoussi"