On constate des variations importantes dans la mise en application de l’arrêté dans la ville de Strasbourg, en région Alsace : si la moitié des rues et places concernées par l’étude ont un taux de vitrines éclairées qui est inférieur à 25% (ce qui laisse encore un potentiel d’amélioration non négligeable), on observe dans d’autres cas des taux d’éclairage élevés, allant jusqu’à plus de 40% pour les rues des Hallebardes, du Dôme, de la Mésange et du Noyer, et même plus de 50% dans le cas de la place Kléber.
En moyenne, ce sont 27% des vitrines qui restent allumées la nuit dans le centre-ville de Strasbourg.
Ces taux importants montrent que les campagnes de communication menées jusqu’ici pour faire connaitre l’arrêté et son entrée en vigueur il y a maintenant 7 mois n’ont pas encore touché l’ensemble des acteurs concernés, et qu’il est nécessaire de poursuivre les démarches de sensibilisation, si nécessaire en les adaptant en fonction du public à atteindre. De même, dans le domaine des annonces immobilières en Alsace, il faut vérifier le diagnostique énergétique.
A voir aussi cette charte à Paris, région Ile-de-France sur la pollution lumineuse.